Bonjour,
J’ai
le plaisir de vous présenter mon dernier ouvrage :
Le quinquennat de Nicolas Sarkozy n’est que la scène où je développe
mes thèmes. Je porte la contradiction là où je devine une atteinte à la mémoire
pied-noir à travers les paroles, les actions et les médisances d’élus, de
médias et d’associations jetant sur les événements d’Algérie entre 1954 et 1962
un voile fourbe et grossier.
J’offre sans doute à travers mes écrits un regard
incomplet de la guerre et de l’Exode « obligé » d’une province
française, mais je sais que d’autres, continuent et continueront à creuser le
sillon qui nous mènera un jour vers la reconnaissance de cette aventure, sur
une terre où les Pieds-noirs lui ont donnée un nom : Algérie
C’est
une suite de chroniques née de ma riposte aux mensonges et aux incohérences que
depuis des années le monde politique, les médias et malheureusement de
nombreuses associations habillées d’un rôle de mauvais juge, portent sur le
passé de l’Algérie française.
Vous
pouvez commander le livre par téléphone c/o EDILIVRE :
01 41 62 14 40 ; sur les sites des librairies en lignes : www.edilivre, amazon.fr ; Chapitre.com, et dans
des librairies indépendantes agréées au système Dilicom de votre lieu de
résidence.
J’espère
que vous porterez une attention favorable à ce « texte-document » (20,50
euros en librairie) qui se veut un cri de révolte et de résistance à l’enfermement
et à la séquestration d’une époque qui mérite un autre sort que celui de
l’oubli.
Recevez
de ma part mes fidèles et chaleureuses salutations.
Robert Charles PUIG est Algérois. Après
ses études et l’armée, il rentre sous contrat temporaire à l’ORTF, puis
quitte sa terre natale sous la contrainte en 1962.
Son arrivée en France quelques semaines
après l’indépendance, lui apprend très vite qu’il n’est pas le «
bienvenu ». Heureusement, une partie de sa famille est là. Elle l’aidera
à surmonter l’indifférence qu’il découvre dans le regard des gens et à
reprendre goût à la vie.
Tout au début de ce nouveau destin, il
lui arrive de trouver que le soleil a des taches rouges, comme la
couleur du sang que les drames semaient « là-bas » et de trouver la
Méditerranée, dans les calanques de Marseille, plus noir que bleue.
Il sort ensuite de sa torpeur
mémorielle et sa surprise est immense : la grande part des médias ment
sur la tragédie de l’Algérie française ; des élus de la république n’ont
aucun respect pour les 132 ans d’une épopée commune avec la France et
beaucoup d’associations pactisent contre cette mémoire qui rejaillit en
lui, comme un étendard glorieux.
C’est aujourd’hui son combat. |