Ne pas confondre communauté
française
et communautarisme immigré
Il y a un mois, la Banlieue parisienne entrait dans la révolte! Depuis cette banlieue tremble
devant une violence inacceptable et inexcusable, propagée
par des gamins inconscients et des adolescents déboussolés,
lancés par des adultes, lâches, immigrés clandestins,
(500 ont été arrêtés) dans une révolution
incendiaire et raciste, il ne faut pas hésiter à
le constater, contre tous les symboles républicains et
religieux de la France !
Ce n'est pas par le fait de la construction,
en 1954, de ses premiers H.L.M. que l'on en est arrivé
là. Cette banlieue s'est développée en 1962,
à une vitesse effrénée dans un urbanisme
de tours et d'immeubles pour accueillir l'exode des Français
d'Algérie, dont De Gaulle, lui-même, fut surpris
de voir l'arrivée en masse, tellement il était persuadé
que l'attachement à leur sol natal, était grand.
Il ignorait ou voulait ignorer que le choix du Pays indépendant,
auquel il venait de faire don de ce qui était la plus belle
province française ne leur avait offert, dès les
accords d'Evian en juin 1962, que le choix entre «
La valise ou le cercueil ! ».
La banlieue parisienne des Français
d'Algérie
Ces dizaines de milliers de Français, de tous âges
et de confessions chrétiennes, juives et musulmanes, pour
la plupart de petites gens, ouvriers agricoles, artisans, sans ressources
et déracinés malgré eux, trahis par le sens
de l'Histoire, découvraient pour la première fois,
Paris, et la France, leur Patrie pour laquelle, leurs aïeux
et même quelques-uns uns d'entre eux d'un certain âge,
s'étaient battus sous le drapeau français, bleu, blanc,
rouge, en 14/18 et 39/45.
La Provence et la Côte d'Azur,
ayant déjà fait leurs pleins de colons de «
l'Algérie de Papa », qui avaient investi dans
des immeubles cossus, notamment à Nice et dans des propriétés
de l'arrière-pays, dès l'échec du putsch
de 1961, les ministres Boulin, Mesmer et Deferre, après
s'être débarrassés des harkis, de la lâche
manière que l'on connaît, ne souhaitèrent
guère l'installation de ces rapatriés, « lamda »
sur le rivage méditerranéen, sans aucun doute, pour
éviter la création d'un communautarisme, sous l'influence
et la mobilisation du C.N.R. de Bidault et Soustelle, et d'anciens
officiers supérieurs de l'O.A.S. qui aurait pu, même
au besoin par un attentat, renverser le Président de la
République Charles De Gaulle. Ses ministres féaux
décidèrent donc un mouvement migratoire complémentaire
de leurs compatriotes d'Algérie vers des départements
au climat bien éloigné de celui de leur sol natal,
vers le Nord ou l'Est, et en Ile de France. Il ne restait plus
qu'à leur trouver des lieux d'accueil, en mettant en chantier,
en 1962, des immeubles et des tours dans les faubourgs de la Capitale.
D'où la constructions de banlieues qui n'ont que 43 années
d'âge !
Parfaits émules de leurs pionniers
dont beaucoup, immigrants des pays méditerranéens
arrivés après 1840, pour transformer un territoire
désertique, un sol aride sans culture et des zones marécageuses,
par « l'épée, la charrue et la quinine »,
comme l'a écrit le professeur en médecine Fernand
Destaing, en une des provinces les plus prospères de France
ces exilés, venus chercher asile et protection de cette
Mère Patrie.(Ils en étaient tombés amoureux
dès leurs premières lectures de l'Histoire de France,
depuis les bancs de l'école communale jusqu'aux classes
du baccalauréat des lycées et des collèges),
s'attachèrent aussitôt à chercher sur son
sol du travail pour faire survivre leurs familles. Ils acceptèrent,
prêts à repartir à zéro, les plus petits
métiers car leur dignité d'hommes de labeur se refusait
à accepter une situation d'assistés et SDF. En même
temps, ils s'appliquèrent à donner à ces
cités qui poussaient, à la vitesse de champignons,
dans la grisaille du ciel parisien, un visage plus souriant à
l'image des sites ensoleillés qu'ils avaient du abandonner.
Pour ce faire, ils s'intégrèrent,
respectueux des traditions religieuses dans la manière
de vivre, toute nouvelle pour eux, des autochtones qui les avaient
précédés dans ces tours de la banlieue parisienne.
Il les convièrent à découvrir, sans vouloir
les imposer leurs propres us, coutumes et traditions ramenés
d'Outre méditerranée. Tout alla pour le mieux !
Fusion faite entre toutes ces confessions chrétiennes juives
et musulmanes locales et rapatriées : On parla
des « Pieds noirs et leurs amis ! ».Une
communauté !
Certes ! C'est cela « la
Communauté » !
Un groupe social d'habitants, ayant des caractères, des
intérêts communs, en un même lieu, évoluant
vers des buts communs au sein d'un même Etat !
En attendant de bâtir au mieux
l'avenir de leurs enfants par l'amour du travail, ces rapatriés
soignèrent les plaies non cicatrisées de l'exode,
oubliant le vote de 82% de leurs compatriotes avec lesquels ils
vivaient dorénavant dans ces mêmes cités.
Métropolitains et banlieusards
de l'Ile de France devaient découvrir alors, à quel
point, ils avaient été intoxiqués par les
politiciens gaullistes sur l'image désastreuse et mensongère
de ces compatriotes natifs de cette province qui était
française de l'autre côté de la Méditerranée.
Même s'ils parlaient fort et s'ils étaient quelque
peu hâbleurs, ceux-ci affichaient une grande bonhomie, une
gentillesse, une générosité envers les gens
du quartier, les saluant dans l'ascenseur, dans les cages d'escaliers.
D'autre part, leurs enfants recevaient une éducation respectueuse
des femmes et personnes âgées, auxquelles ils cédaient
leur place dans les trains, bus, trams et métro. Grands
et petits étaient toujours prêts à rendre
service aux voisins de palier ou de leur immeuble et même
du quartier. Comme cela se faisait là-bas !
D'où la construction aisée d'un
amagalme qui ne pouvait que se solidifier davantage au fil des
années, entre banlieusards, autochtones et rapatriés,
d'autant que ces derniers, bien qu'arrachés à leurs
villes et villages où ils avaient vu le jour, ne se montraient
ni jaloux ni envieux, vis à vis de leur entourage. Ils
se voulaient désormais Français, ce qu'ils avaient
toujours été d'ailleurs puisqu'ils avaient défendu
leur sol natal, toujours sous le drapeau tricolore, bleu, blanc,
rouge ! D'ailleurs, ni vindicatifs ni revanchards, ils continuaient,
bien au contraire, à honorer l'emblème national
lors des cérémonies civiles ou militaires et à
le protéger de tout défi ou de toute insulte.
La plupart originaires de l'immigration,
avaient le sens du mot: « Patrie » !
De même, ils donnèrent exemple
à leurs descendants et enfants, en exerçant de nouvelles
tâches et professions, souvent bien différentes de
celles qu'ils avaient exercées et des salaires beaucoup
plus bas que ceux du sol natal.
Ils connaissaient bien également
la valeur du mot : « Travail » !
Mot devenu aussi insultant, en ce Troisième
millénaire que le terme « Esclavage » !
Ce mot qu'aucun politicien ou gouvernant français n'ose
prononcer de crainte de perdre des électeurs et songent
déjà à ménager ces jeunes révoltés
des cités, qui seront majeurs, un bulletin de vote à
la main, devant les urnes des élections présidentielles
de 2007.
Ces candidats potentiels préfèrent
donc remplacer ce mot « Travail », peu prononcé
par ces délinquants et émigrés clandestins,
par les termes « Assistance » ou « semaine
des 35 heures de présence et non de travail ».
Au point que d'aucuns se demandent
si l'Ordre maçonnique, champion de la tolérance,
sous sa devise « Liberté, Egalité, Fraternité »
que lui a emprunté, la République française
à sa naissance, ne devrait pas retirer de ses initiations
rituelles à la gloire de l'architecte Hiram : Les
5 voyages du « Compagnon », (2ème
degré et 5 ans) qui correspondent à la glorification
du Travail.
Les enfants, arrivés
en 1962, à l'âge de 10 à 13 ans, et ceux ensuite
nés dans ces cités franciliennes, premiers hôtes
de toutes confessions, ont été éduqués
dans le respect des uns et des autres, dans le bon sens des différences
ethniques ou religieuses.
Leurs parents auraient eu, pourtant, des reproches
à faire à cette Société française
de 1962 qui les avait à jamais privé de leurs racines
et exilé dans le plus profond dénuement. Bien au
contraire ils optèrent pour la vie en Communauté
avec leurs compatriotes et non pas le choix d'un communautarisme
qui fait toujours prévaloir la valeur des organisations
religieuses, ethniques et sexuelles, sur l'exigence de l'assimilation
des individus selon les règles et le modèle de vie
du Pays où ils se trouvent. Les premières générations
d'enfants et adolescents, eux scolarisés, dans ces banlieues
originelles, si l'on peut dire, enfants d'aïeux immigrés
et de familles métropolitaines, ne se livrèrent
jamais alors à des dégradations de boites aux lettres,
au « taging » des cages d'escaliers, à
l'incendie de poubelles, aux pillages de caves. Ils n'insultèrent
pas leurs voisins dans les transports publics et n'agressèrent
pas leurs camarades de classe pour les racketter,
Ces jeunes de 14/15 ans, à
l'orée de l'adolescence dans les années 1962 à
1982, furent toujours respectueux du mot « Famille » !
Ces mots « Patrie,
Travail, Famille » ne me paraissent pas inconnus,
ils appartiennent dans un autre ordre, à une devise que
j'ai apprise, à l'école Paixhans à Oran,
(j'avais alors 8 à 9 ans), alors que la France venait de
s'écrouler sous la botte nazie et raciste d'Hitler, trahie
par « une cinquième colonne »
implantée sur notre sol national !
Mais ! Cette devise apparaît-elle
toujours dans nos manuels d'Histoire de France ?
La fusion des nouveaux venus de la
communauté française d'Algérie, en dehors
de tout clivage politique, religieux et ethnique, démontre
bien que leur assimilation fut totale au climat déjà
créé par leurs prédécesseurs franciliens.
Ces premiers locataires sereins et humanistes, connurent ainsi,
pendant vingt années, une vie étroitement liée.
C'est cela : « La Communauté »
au sens de sa définition !
Ces tours, 43 ans d'âge de construction,
où sont nés les parents de certains de ces délinquants
ne sont donc en rien, responsables des troubles actuels. Les jeunes
vandales irrespectueux des lois n'ont aucune excuse à faire
prévaloir au niveau des difficultés rencontrées
par leurs ascendants qui s'y étaient alors établis.
Chômage et précarité :
Fausses excuses
Aucune comparaison entre la communauté
de 1962 et le communautarisme de 2005 !
Mais pourquoi l'exemple de la première
assimilation de familles tout aussi étrangères dans
leurs us et coutumes que celles de nos jours, n'a-t-elle pu se
faire dans ces banlieues qui sont devenues vétustes avant
l'heure, par des dégradations volontaires pour effrayer
les voisins que l'on souhaitait voir partir afin de « squatter »
les lieux, en raison d'un surpeuplement incontrôlé.
Quelles causes ou excuses peut on évoquer pour expliquer
la mutation de ces cités vers le trafic de drogue, le viol
des petites copines dans les sous-sols, avant de propager des
actes de violence et d'insécurité réalisés
par des mineurs, poussés à s'attaquer aux forces
de police par de lâches adultes repris de justice et fichés,
jusque dans la profanation des lois de la République, dans
la destruction d'écoles de leurs quartiers et dans l'incendie
de voitures de leurs voisins, innocents, et pas du tout responsables
de leurs faux problèmes !
Il est impossible de donner le moindre aval
à ceux qui parlent de causes de chômage et de précarité
pour expliquer cette colère et cette violence. Le désuvrement
et la pauvreté sont hors sujet en raison de l'âge
des révoltés, incendiaires, casseurs de bâtiments
publics, agresseurs de passagers des transports urbains, cherchant
constamment l'incident en provoquant les forces de police et les
sapeurs pompiers.
En effet les plus jeunes antagonistes ne sont
que des enfants de 10 à 13 ans, âge plutôt
dirigé vers la scolarité primaire ou une école
d'apprentissage que vers un métier.
Chômage? Excuse donc impossible à
prendre en considération d'autant que la France s'affiche,
non seulement dans l'hexagone mais encore à travers le
monde, la protagoniste de la scolarité obligatoire jusqu'à
l'âge de 16 ans ainsi que la protectrice des enfants de
bas âge, interdisant leur utilisation dans des taches et
des métiers que les adultes rechignent, eux-mêmes,
à faire. De même pour les adolescents de 15 à
16 ans, qui ont toujours fui l'école. Donc incultes et
sans bagages scolaires, ils n'ont pas recherché un centre
d'apprentissage pour accéder à un métier
manuel mais ils se sont promu chefs de ces bandes de gamins sensibles
à toute influence subversive.
Précarité ? Impossible
également à prendre en compte, lorsque l'on constate
les forêts de paraboles T.V. satellites sur les balcons
des appartements des tours et immeubles, le nombre de voitures
sur les parkings de ces cités. La multiplicité des
téléphones mobiles : chaque gamin en possède
au moins un ! On est bien loin de la pauvreté des
enfants du tiers monde, traités comme des esclaves, fouillant
les décharges d'ordures afin de pouvoir manger et survivre
dans leurs propres pays. N'est-ce pas Sainte Teresa ? Les
casseurs et les incendiaires sur le sol français, par rapport
à eux, sont nantis ! Comment peuvent-ils, en situation
de précarité, payer les achats d'une voiture, d'un
poste de télévision, d'un téléphone
portable et les factures qui en découlent ? D'où
provient l'argent ? Pas de primes des ASEDIC, ils n'ont jamais
travaillé !
Vol, racket, trafic en tous genres,
prostitution et drogues sont-elles les mamelles d'une vie dans
l'illégalité totale en bafouant les lois de la République
française qui accueillent leurs doctrinaires clandestins,
en vertu des Droits de l'Homme, (soit disant inconnus dans les
pays dont ils sont originaires), mais qui ne veulent admettre
les devoirs correspondants en France.
Ce soit disant mal-vivre de quelques voyous
banlieusards ou citadins, illettrés ou désuvrés,
de par leur propre volonté, n'est imputable ni à
la Société française chrétienne et
laïque ni aux lois de notre République protectrice
des Droits de l'Homme.
Pourquoi les banlieues flambent-elles
donc en 2005, dans un vent de panique, tant chez les provocateurs
que chez les agressés, aujourd'hui, qui ne savent pas bien
comment faire pour y mettre fin ?
L'explication est pourtant simple
: Cette pagaille qui pourrait prendre un virage dangereux contre
des familles de travailleurs honnêtes, de toutes confessions
et de toutes ethnies, parfaitement intégrés sous
la nationalité française et même d'Etrangers
respectueux de lois françaises vivant dans notre Nation
française, avant de regagner leur pays d'origine, provient
de l'extérieur de ces cités!
L'esprit de la Communauté raisonnable
de 1962 a basculé vers l'essor du communautarisme illégal
de 2005, par la démagogie encadrant l'immigration sauvage
et clandestine qui a transposé la loi du regroupement familial
au niveau de celui de rassemblement de la tribu. Il est vrai que
nos énarques de gauche ou de droite, davantage attirés
par une carrière politique que par celle de hauts administrateurs
n'ont aucune notion de la vie du continent africain où
la famille ne correspond pas au modèle européen,
parents et enfants, mais au niveau des cousins et cousines. Ce
que devrait comprendre pourtant le maire d'Evreux qui se lamentait
à la T.V. devant les voitures incendiées dans les
faubourgs de sa ville, puisque troisième personnalité
de la République française, du haut de son perchoir
de l'assemblée nationale :Le Magistrat Jean-Louis
Debré, fils du créateur de l'ENA !
Immigration et Travail dans l'ordre républicain
Les mouvements des peuples ont toujours existé, depuis
des siècles, quels que soient les continents. Ces migrations
se manifestent, désormais, davantage dans les sens Sud-Nord,
de l'Afrique vers L'Europe, d'Est en Ouest, de l'Asie vers l'Europe.
Elles sont quasiment inexistantes sur les axes inverses.
Seul exemple contradictoire, celui
de la population de l'Algérie française, constituée
à partir de 1840, d'immigrants de toutes confessions en
provenance, dans le sens Nord-Sud de tous les rivages méditerranéens.
Des gens venus déjà à la recherche de travail
pour survivre. Leur intégration totale bâtie sur
le respect des uns et des autres, a ainsi réalisé
une unité de communauté qui a su surmonter les affres
de l'exode.
La France a bénéficié
également dans le siècle précédent
de flots de travailleurs étrangers originaires, il est
vrai pour la majorité, de pays européens voisins.
Avant la deuxième guerre mondiale, des Polonais, dans les
mines de charbon et des Italiens dans les carrières de
pierre, ensuite après 1945, des Espagnols dans l'agriculture
et des Portugais dans les chantiers des T.P. et du bâtiment.
Quelques Africains et Maghrébins, issus de cette Armée
d'Afrique, qui libéra la France de la botte nazie apparurent
aussi dans les tâches qui rebutaient, déjà,
certains Français à ce moment-là. L'immigration
est donc une nécessité par le manque de main d'uvre
locale dans tous les Pays du continent européen, mais dans
une logique du travail. Une logique préconisant évidemment
que tout travail mérite salaire et que tous les travailleurs
immigrés réguliers bénéficient des
mêmes droits que les travailleurs nationaux, particulièrement
sur les avantages sociaux, mais en même temps les mêmes
obligations de devoirs dans le respect des lois de l'Ordre républicain.
Par contre on n'a jamais constaté
un effet migratoire vers les pays musulmans du Moyen Orient où
tout accès se complique pour un Etranger dès qu'il
ne pratique pas la religion et qu'il ne parle pas l'arabe. Les
potentats familiaux en place, ne veulent pas de travailleurs immigrés
qui leur co˛teraient trop cher. Le problème de l'emploi
et du travail, s'il se présente dans leur pays, est vite
résolu avec l'utilisation de femmes et d'enfants affamés
n'appartenant pas à leurs ethnies, sous-payés dans
un esclavage déguisé pour effectuer les tâches
pénibles, indignes, des leurs, familles ou ethnies.
Un problème humain difficile
à résoudre pour l'O.N.U. !
Ces familles exploitées cherchant
simplement à survivre, ne rêvent alors que de l'Europe,
surtout lorsque l'un d'entre eux, de retour au pays après
avoir eu la chance d'y avoir travaillé, leur en fait le
portrait d'un « Eldorado ». Un faux « Eldorado »
que peaufine la mafia des mercantiles « Passeurs »,
négriers du Troisième Millénaire qui se conduisent
en véritables trafiquants des bois d'ébène
des siècles précédents.
L'O.N.U. s'attache également
à détruire ces marchands de mirages !
Ils agitent à bout de bras
les aides sociales, la Sécurité sociale, les allocations
familiales complètement inconnus sur leur sol natal !
En échange de paiements de passages qui ruinent à
jamais ces pauvres clandestins utopiques et illettrés,
bernés d'avance.
Beaucoup de ces malheureux candidats
à l'immigration sauvage et illégale, sans formation
professionnelle n'atteindront jamais leur illusoire terre d'accueil
et de travail, soit, ils périront sur son chemin, soit,
rescapés, ils seront refoulés vers leur pays d'origine.
10% à peine réussiront à atteindre ce faux
« Eldorado » qu'est devenu l'Europe,
complètement saturée, et ils entreront dans l'immigration
clandestine, sans domicile fixe et sans travail qui ne pourra
que les ramener à la case départ. Des tas d'associations
se voulant de bon aloi (sic), méconnaissant tout de leurs
us et coutumes, se sont constitués en France ainsi que
dans les autres pays européens pour leur venir en aide
et les protéger dès qu'on parle d'expulsion, sans
leur avoir jamais offert gîte et couvert, leur avoir permis
de trouver et de leur donner le go˛t au travail à la portée
de leur expérience. Religion, us et coutumes du continent
africain placent l'homme en être supérieur par rapport
à la femme et aux enfants chargés des labeurs que
sa position de chef de famille lui interdit d'accomplir. Aussi
ces immigrés seront-ils davantage attirés par les
combines pour vivre que par la recherche d'emploi. Leur hymne
n'est pas « Le travail, c'est la santé ! » ;
Ils préfèrent la suite « Ne
rien faire, c'est la conserver ! ».
D'autant que ces associations dont
les leaders ne sont pas des foudres de guerre dans le travail
mais plutôt engagés dans de douteux choix politiques
et d'utopiques philosophies consacrées, paraît-il,
au bonheur de l'humanité, les conseillent et les protègent
dans cette voie. Cela, malheureusement sur le dos de ceux qui
travaillent par contre ! Certains de nos syndicats en constituant
le parfait exemple.
A propos d'expulsion et d'action syndicale,
je me rappelle qu'en 1975, Michel Poniatowski, ministre de l'Intérieur,
avait décidé de faire reconduire dans leurs pays
des Marocains en situation irrégulière, après
avoir bénéficié d'un droit d'asile en France.
Je participais à une conférence
de presse tenue par le roi du Maroc, Hassan II dans son palais
à Rabat. Au sujet de la décision du gouvernement
français de renvoyer dans leurs foyers, certains de ses
compatriotes, Hassan II avait répondu sèchement :
« Je n'en veux pas! Ils sont la lie de mon Pays !
Vous les avez accueillis lorsqu'ils se sont réfugiés
chez vous après avoir violé nos lois ! M. Michel
Poniatowski n'a qu'à les expédier ailleurs. Ils
ne peuvent rien apporter à notre peuple si ce ne n'est
l'engendrement de troubles à la suite des enseignements
du communisme et des revendications cégétistes qui
sèment déjà le désordre chez vous
! Ce ne sont plus des Marocains, je n'en veux plus ! ».
Ce mauvais exemple cégétiste, hélas !,
s'est encore démontré, trente ans plus en fin d'été
2005, peu avant l'embrasement des banlieues, avec des grèves
de transports urbains ferroviaires, aériens, portuaires,
jusqu'à un acte de piraterie. Quels enseignements voulez-vous
que tire de tout cela un gamin illettré ou un immigré
inculte, si ce n'est que dans le Pays de la défense des
droits de l'Homme, il n'y a plus de devoir, plus de respect du
droit d'autrui et que le droit de grève, surtout dans le
Service publique supplante à jamais la liberté du
travail ! En somme un passeport à ne pas travailler,
à br˛ler des voitures et à détruire des établissements
scolaires. Il doit sourire malicieusement depuis l'au-delà,
le roi Hassan II, en constatant que la France n'avait rien compris
à son avertissement de 1975 !
Et voilà comment ce communautarisme
immigré qui veut construire, dans les banlieues franciliennes
et les faubourgs des autres villes de province de l'hexagone,
des territoires où les forces de la sécurité
publique, police et pompiers n'auront pas droit d'accès,
peut devenir le réservoir de « la force dormante
d'Al Quaïda »
L'ombre terroriste d'Al Quaïda
Ne nous voilons pas la face, une fois
de plus ! Cet embrasement subit et imprévisible de
quelques gamins banlieusards et citadins de ces faubourgs parisiens
et de l'Ile de France, qui s'est ensuite propagé comme
un feu de forets méditerranéen sous des rafales
intempestives de tramontane ou de mistral, dans les autres métropoles
de l'hexagone, ainsi que dans les villes les plus proches des
pays voisins européens, masquent autre chose.
Arrêtons de nous placer constamment
en position de repentance dès qu'un événement
touche, sur notre sol, un être humain qui n'appartient pas
à notre race, notre nationalité et notre religion
d'autant que l'on sait que la réciproque ne s'appliquera
pas à nos intentions dans leur pays natal.
Après l'assassinat des moines
de Tiberine, l'attentat mortel contre Monseigneur Claverie, la
profanation du cimetière militaire marin de Mers-El-Kebir,
(datant de 1940 et n'ayant rien à voir avec la guerre d'Algérie),
en avril 2005, avec la destruction de tombes et de croix chrétiennes,
auraient d˛ être un signe avant coureur pour nos dirigeants
comme quoi c'est la Chrétienté et particulièrement
française, qui était visée.
La preuve vient de nous en être
donnée par une loi adoptée en conseil du gouvernement
de la République algérienne, visant à limiter
le « prosélytisme » et à réduire l'influence
croissante des groupes évangéliques-chrétiens
en Algérie. Coincidence bizarre ou voulue par le conseil
des Ulemas, en ce 13 novembre 2005, à Alger.
En ce même jour à Rome
on célébrait la béatification par sa S.S.
le pape Benoît VI, du Révérend père
Charles de Foucauld, devenu Charles de Jésus pour les tribus
Touaregs et assassiné le 1er décembre
1916, par un pillard senoussi du nom de Serni ag Thora, à
Tamanrasset. Cité encore de triste mémoire, encore
quarante deux ans plus tard, pour les Français de toute
confessions d'Algérie, au souvenir de cette affirmation
faite par le général De Gaule en juin 1958 à
Alger : «55 millions de Français de Dunkerque
à Tanmarasset » à Alger en 1958. Peu de temps
après, le chef terroriste de la casbah d'Alger, Larbi Ben
Mehdi, arrêté par le colonel Bigeard, déclara
au cours d'un tête-à-tête avec lui : « A
la place de l'annonce de De Gaulle, je vous prédis 55 millions
d'Algériens de Tanmaraset à Dunkerque ! » Regardons la vérité en face, cette prédiction
n'est pas loin d'être authentifiée.
Ne commettons pas les mêmes erreurs qu'en
1954. A cette date, c'était la province française
outre méditerranéenne qui était visée,(elle
n'avait que 130 ans), mais cette fois c'est notre Patrie, la France,
(Trois millénaires) qui est menacée: A travers sa
République, sa laïcité, sa chrétienté (deuxième
fille de l'Eglise, comme l'appelait Jean Paul II), par un Islamisme
radical, au nom d'une « charia » qui
arme les bras des égorgeurs d'Al Quaïda.. Son leader
actuel qui avait menacé deux mois auparavant la France,
l'Imam jordanien Zarquaoui, chef du groupe « Au
Pays des deux rivières », (la Jordanie), déjà condamné à
mort par deux fois en 1996 et pourtant amnistié en 1999
par le roi Aballlah, lors de son accession sur le trône,
n'a pas hésité à frapper par trois attentats
kamikazes, le 9 novembre dernier, Ammam, capitale de son pays
natal. Bilan 56 morts et 102 blessés.
Belle reconnaissance pour la plus
que bienveillante tolérance du fils du roi Hussein. Cela
me ramène à l'esprit qu'au cours d'une conférence
du roi Hussein II de Jordanie, que j'avais suivi à Ammam,
alors qu'il n'avait pas encore signé un traité de
cessez le feu avec Isra‘l et qu'il soutenait Arafat et les combattants
palestiniens, (installés dans son pays dont ils bousculaient
quelque peu les lois), il avait déclaré, au nom
de la lutte contre le sionisme, que « le Djihad
était et restait un moyen de rallier les Arabes et les
musulmans ! ». Qu'en pense-t-il du haut du Paradis
d'Allah, en ce mois de novembre 2005, ce charismatique petit roi
jordanien, de la lâcheté de ce terrorisme aveugle
« des fous de Dieu » en son pays !
N'ensevelissons surtout pas dans les
dossiers « Affaires classées »,comme
cela s'opère traditionnellement au Quai d'Orsay, dès
qu'on évoque des problèmes du Moyen-Orient, l'avertissement
lancé par le Jordanien Zarquaoui, leader de la branche
irakienne la plus meurtrière d'Al Quaïda, contre la France
et sa capitale Paris qui ont toujours figuré et figurent
encore parmi ses objectifs actuels. La France gêne beaucoup
dans la gestion de la religion coranique avec sa communauté
musulmane française et ses relations à l'Etranger
avec des pays arabes et musulmans qui combattent la folie de l'Islamisation
raciale et extrémiste.
Ayman Al Zawari, leader spirituel
des talibans et de Ben Laden, créateur d'Al Quaïda,
(dont nul ne sait d'ailleurs, en raison du grand mutisme qui l'entoure,
s'il est toujours en vie), poursuit son uvre de détournement
du Coran vers l'Islamisation mondiale. terroriste Sur le sol français,
sa première action psychologique islamiste date de deux
années, l'objectif était d'imposer le port obligatoire
du voile par les jeunes musulmanes françaises et celles
étrangères résidant en France, dans la vie
sociale et démocratique de notre République, alors
que les pays musulmans du Maghreb et la Turquie,(70 millions de
pratiquants), ne l'ont jamais exigé.
La laïcité française
protectrice de l'égalité des droits de l'homme et
de la femme ne convient pas du tout à « la Charia »
qui accable la femme inférieure à l'homme.
En effet les jeunes musulmanes, de nationalité
française ou étrangère, des banlieues de
l'hexagone, (lire « «Ni pute ni soumise »),
veulent aller à l'école, au lycée, poursuivre
des études en Fac, pour lesquelles elles se montrent d'ailleurs
plus douées et plus appliquées que les jeunes garçons
musulmans en vue d'obtenir des diplômes et métiers.
Bizarre ? Pour elles ! On ne parle pas de ségrégation
lorsqu'elles cherchent du travail ? Situation inadmissible
pour les héritiers du « vieux fou de la Montagne »
de Marco Polo: Impossible de voir une femme devenir l'égale
de l'homme !
Le résultat escompté
par les leaders islamistes fut déboussolé, malgré
quelques manifestations contre la République et ses lois
à cause, d'un léger climat hésitant de nos
gouvernants. Cet essai islamiste fut déstabilisé
dans sa genèse et étouffé dans l'uf,
en concédant toutefois l'interdiction du port ostentatoire
des signes des autres religions.
Ce n'était là qu'une action psychologique d'Al Zawari pour tester
la pression islamiste sur les enseignements de la religion musulmane
dans les mosquées de France.
Cette fois on est passé à
un test de guerre subversive du chef terroriste Zarquaoui contre
lequel les responsables des Emirats viennent de lancer l'anathème,
depuis Ammam.
Ce Jordanien qui s'intitule désormais
le chevalier de la « fatwa » lancée
et développée en Afghanistan par Ben Laden contre
l'Occident et la Chrétienté depuis le 11 septembre
2001, veut porter le plus rapidement ses attaques terroristes
contre la communauté des Pays d'Europe. Il lui faut donc
recenser la puissance de sa « force dormante »
et l'embrasement des faubourgs des villes françaises qui
s'est propagé, une semaine plus tard dans des villes européennes
n'y est sans doute pas étranger.
En effet il faut regarder au-delà
de l'hystérie de ces gamins et adolescents, âgés
de 10 à 17 ans,. Il y a plus grave comme l'ont confirmé
les des interpellations, d'adultes déjà fichés,
en situation irrégulière et sans papiers, donc produits
de l'émigration clandestine et sauvage, (plus de 500),
qui ont encadré et manipulé ces manifestations d'un
faux mal de vivre vers le projet de Zarquaoui ! Ce dossier
ne doit pas stagner !
Rétablir les valeurs de la France
et de sa République
Le gouvernement doit tenir compte
du comportement des honnêtes immigrés, ceux ayant
adopté la nationalité française ainsi que
ceux qui, tout en gardant leur nationalité d'origine et
leur pratique religieuse, eux, travaillent et se sont parfaitement
intégrés, respectueux des lois de la République
française. Tous condamnent ces violences impensables et
cette folie vengeresse contre la France, « Pays de
tolérance et d'accueil qui ne mérite pas de tels
débordements incompréhensibles! », selon
leur propre propos.
Voilà les exemples à
montrer et à donner à cette jeunesse déboussolée !
Elle doit retrouver le respect des « Chibani »,
des parents, des sages conseillers religieux, le go˛t du travail
et l'idéologie patriotique.
Ce sont là les grandes valeurs
de la France et de sa République qu'il faut rétablir,
logiquement, comme l'a fait le Premier ministre Dominique de Villepin
et fermement, comme l'a mis en application le ministre de l'Intérieur,
Nicolas Sarkozi qui a reçu l'approbation de près
de 70% des français de toutes ethnies et confessions.
Mais au fait rappelez-vous, en France
en 1940, lorsque la botte nazie, raciste hitlérienne écrasait
la devise républicaine « Liberté !
Egalité ! Fraternité ! », une formule pour le
redressement de la Patrie avait été trouvée
par un vieux soldat de 1914-1918 :
« Travail ! Famille
! Patrie! »
Et si cela était la « Potion
magique » en cette année 2006 !
Yves Henry