Un nouveau cycle d’études : chapitre 1
LE CYCLE DE L’ADIEU
CHAPITRE 1
L’INEVITABLE ENGAGEMENT
C’était donc après avoir effectué mon service militaire
au 1er RTA.
Période au cours de laquelle j’avais enregistré une
certitude : le refus du pouvoir de la IVème République française, de faire
participer les Français d’Algérie à la lutte qui était imposée à la France sur
ce territoire. De toute évidence on refusait de les intégrer en totalité à la
mission de régler au plus vite ce conflit.
Conflit dont personne ne semblait soupçonner la
gravité pour l’avenir de la France et des Français d’Algérie, pour l’Europe,
pour l’Occident.
Conflit dont l’importance majeure se déduisait à
partir de deux notions géopolitiques fondamentales sur lesquelles nous
reviendrons.
Première notion : l’immensité de l’Algérie, un
pays situé entre la Méditerranée au nord et l’Afrique subsaharienne au sud.
Deuxième notion : la proximité de cet immense
territoire situé à 800 kilomètres environ du port de Marseille.
Permettez-moi de souligner que cette résolution fut
une décision rigoureusement personnelle.
Je précise mon objectif d’alors : mettre sur pied une
structure de combat offensive et agressive. Dans le but opérationnel de gêner
une organisation ennemie de la France, le FLN. Celui-ci exprimait en effet une
volonté tactique prioritaire : celle d’exercer un contrôle total sur la
population française de confession musulmane.
Ce contrôle de la population musulmane de la part du
FLN illustrait, selon ce dernier, un moyen de guerre jugé prioritaire et
indispensable pour abattre la France en Algérie dans un premier temps. Et
pourquoi pas pour prendre en mains ultérieurement le destin de la France
métropolitaine. Ce qui était envisageable en cas de victoire FLN. Tout avait
été d’ailleurs annoncé : « vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque » annonça en 1957 le chef FLN Ben M’Hidi.
Au cours de ce cycle d’études, le cycle de l’adieu, j’ai cru nécessaire de revenir sur des évènements qui ont été rapportés par
d’autres auteurs et par moi-même précédemment.
J’ai cru opportun de les rappeler car l’actualité
dramatique que nous avons vécue le 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis,
illustre avant tout l’importance majeure qu’a tenu le
fanatisme dans la guerre que nous avons connue en Algérie. Guerre que nous
redoutons d’affronter encore sur le territoire de la mère-patrie.
Cette
initiative que je crois devoir prendre, permettez-moi de la saisir aussi comme
une occasion : celle d’apporter un démenti argumenté, sérieux et serein à
la thèse d’un auteur franco-algérien de confession juive.
Celui-ci prétend démontrer que la conquête de
l’Algérie fut effectuée dans le but de provoquer « Trois Exils ».
Des exils dont aurait été victime la collectivité de
confession juive d’Algérie, primitivement apatride, secondairement de
nationalité française à partir de 1830.
« Sidi-Ferruch en juin 1830 :
ce fut une agression anti-juive qui aboutit à un premier exil
des juifs d’Algérie ».
Ainsi s’exprime en substance cet auteur pour le moins
très mal informé.
Il s’agit d’une accusation étonnante si l’on prend la
précaution de constater à quel point la conquête de l’Algérie doit
s’identifier, tout au contraire, à une opération de délivrance : la délivrance
de la dhimma juive d’Algérie.
J’ai écrit dans un de mes livres1 : « une
véritable opération Entebbé ».
Permettez-moi de rappeler ce que j’avais déjà
rapporté sur la signification de l’opération Entebbé.
Je cite :
« Idi Amin Dada, ancien berger
nubien du temps de son enfance, prend le pouvoir en Ouganda, le 25 janvier
1971. Il rencontre alors le colonel libyen Khadafi.
Il tombe sous son influence et se convertit à l’islam. Avant sa conversion, il
était l’interlocuteur direct d’une mission israélienne à Kampala, capitale de
l’Ouganda. Cette fonction l’avait conduit à effectuer quelques séjours en
Israël.
Après sa conversion il déclenche
des persécutions contre les non-musulmans et organise des crimes et des
exactions qui annoncent des génocides de masse que va connaître l’Afrique. En
1976, sous l’influence de Khadafi, il prend en otage
les passagers juifs d’un avion qui faisait escale à Kampala.
Son objectif, ou plutôt celui de Khadafi : faire pression sur le gouvernement de Tel-Aviv et obtenir la libération de chefs palestiniens emprisonnés. Ces otages seront libérés grâce à un audacieux raid de parachutistes israéliens sur Entébbé, ville située sur le lac Victoria qui dispose d’un aéroport, en l’occurrence l’aéroport international de Kampala. Ces otages seront ramenés en Israël le 3 juillet 1976. Le colonel commandant l’opération fut tué à l’occasion de ce raid. Il était un parent très proche du chef du gouvernement actuel d’Israël ».
Nous ne
manquerons pas de revenir sur cette fausse accusation qui prétend conférer une
identité ou plutôt une motivation anti-juive majeure à la présence française en
Algérie.
La conquête de l’Algérie, tout au contraire, connut
au premier plan une identité bien précise qu’il faut rappeler : un sauvetage de
la collectivité d’Algérie de confession juive. La présence française apporta la
liberté et le suprême privilège à cette collectivité minoritaire du peuple
d’Algérie, de pratiquer ce culte monothéiste tel qu’il était pratiqué ……depuis «
plus de 4.000 ans ».
« Ainsi nous l’avaient annoncé les Prophètes… »
Nous sommes en
1956
Une année qui mérite d’être évoquée.
Cette année-là, s’illustre comme une année terrible,
à l’instar de beaucoup d’autres, durant l’intervalle historique maudit situé
entre le 1er novembre 1954 et le 5 juillet 1962.
Le 5 juillet 1962.
Cette dernière date évoque un massacre : celui de nos
concitoyens d’Oran. Elle est l’illustration sanguinaire majeure de la défaite
gaulliste. Une défaite subie ou plutôt consentie, devant un ennemi de
l’Occident. Ennemi dont la pugnacité s’exerce à travers la volonté de donner la
mort, aujourd’hui encore. Comme nous l’avons enregistré lors de l’attentat
contre « Charlie Hebdo » le mercredi 7 janvier 2015, en plein Paris.
Aggravé par celui de la Porte de Vincennes. Volonté de donner la mort, affirmée
à grande échelle le vendredi 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis.
Sauvagerie exprimée en d’autres occasions par
l’intermédiaire de médias complaisants : décapitations, pendaisons, égorgements
spectaculaires d’otages occidentaux ou musulmans, assassinats exhibés, j’insiste
avec force, « par des médias complaisants ».
Il n’entre pas dans l’esprit de ce travail de couvrir
d’un silence inacceptable le destin tragique que connurent nos frères d’armes
du combat ultime de l’OAS, assassinés par le pouvoir gaulliste.
Piegts, Dovecar, De Gueldre, Bastien-Thirry, nos fusillés.
D’autres aussi qui furent assassinés par les
complices gaullistes de l’anti-Occident :
- nos harkis, lynchés en
masse par des tueurs qui ont bénéficié d’une totale liberté d’action de la part
du pouvoir français de l’époque ;
- notre peuple français, fusillé le 26 mars à Alger
et lynché le 5 juillet 1962 à Oran.
Revenons à l’année 1956.
Ce fut l’année d’une embuscade tragique dans la
région de Palestro. En Grande Kabylie. 17 soldats
français et un sous-lieutenant récemment arrivés de Métropole furent massacrés.
Je n’évoque pas seulement la mort qui, fréquemment
s’inscrit dans le destin prévisible des soldats en opération.
Ce que je veux évoquer ici c’est ceci : 18 soldats
grièvement blessés, furent achevés.
Non pas par
leurs agresseurs.
Ils furent livrés par ces derniers à la population
locale. Sur ordre des hommes de Khodja, des femmes
et des hommes de cette population locale furent dans l’obligation, sous
peine de mort, d’achever nos blessés victimes de l’embuscade de Khodja, en les égorgeant, en les émasculant, en leur
ouvrant le ventre, en leur crevant les yeux.
Voilà le destin qui fut réservé à nos compatriotes de
la Mère-Patrie, qu’un pouvoir mal instruit de la signification de la guerre
d’Algérie, avait engagés dans une opération périlleuse. Pouvoir qui n’était pas
informé du renfort d’armes modernes dont avait bénéficié Khodja.
Cette embuscade fut possible en effet et couronnée de
succès parce que Khodja avait pris livraison
préalablement, d’un armement de choix. Cet armement avait été tout d’abord
entreposé dans la villa Pouillon, située au Clos Salembier à Alger, par l’aspirant Maillot qui avait volé ces armes pour le compte du FLN.
Une citoyenne française, Madame Chaulet,
chrétienne-militante du FLN, engagée à outrance contre la France en Algérie,
séjournait souvent dans cette villa dont le maire FLN d’Alger, Jacques
Chevallier, avait une jouissance privilégiée.
Cette prestigieuse villa, un peu plus tard, hébergea
d’autres locataires occasionnels. J’évoque parmi ceux-ci un cadre supérieur de
l’OAS qui, au printemps 1962, imposa par surprise, à mon insu total, sur ordre
de Jaques Chevallier et de Farès, le cessez-le-feu
des deltas à Alger.
Cessez-le-feu dont il faut retenir avant toute autre
considération, qu’il officialise historiquement, pour l’éternité, la date
réelle de la mort effective de l’Algérie française.
Je précise : l’Algérie française est morte officiellement
à l’instant précis du cessez-le-feu des deltas d’Alger.
Madame Chaulet, en 1956,
fut chargée de livrer à nos ennemis dans le secteur de Palestro,
une partie des armes volées par l’aspirant Maillot. Grâce à cet armement, le
massacre que nous avons évoqué, fut possible.
Massacre réitéré en d’autres lieux pendant plus de
sept ans, au nom d’une justice sociale revendiquée par ceux qui, en réalité,
s’étaient soumis par leur rébellion et leurs crimes, aux exigences
opérationnelles du capitalisme financier.
Celui-ci ne poursuivait qu’un but que nous rappelons
: se délester économiquement et socialement du peuple algérien.
Se libérer de la charge financière qu’exigeait tout particulièrement la couverture sociale et sanitaire du peuple algérien.
Ce style
d’opérations consistant en lynchages de Français, qu’ils fussent militaires ou
civils, avait déjà été expérimenté en 1955.
Le 20 août de cette année fut déclenché ce que les
auteurs algériens se sont attachés à décrire sous le titre de « l’opération
du 20 août 1955 ».
Tout près de Philippeville, dans l’extrême-est
algérien, ce jour-là, fut organisée « une boucherie » selon la
terminologie utilisée par les exécuteurs eux-mêmes. Une boucherie qu’ils
espéraient spectaculaire et massive, selon les exigences formulées par les
ordonnateurs de cette opération du 20 août 1955. Ceux-ci agissaient
comme les décideurs, insistons encore, en faisant intervenir la population
musulmane locale, fanatisée en cette circonstance par les responsables
eux-mêmes commandés par Zighout.
Des Français désarmés, des vieillards, des femmes, un
nourrisson même, furent massacrés au milieu d’un
exhibitionnisme recherché de cruauté. Dans une double finalité clairement, ou
mieux officiellement, formulée :
- d’une part, soumettre les populations européennes
locales à la terreur et à la panique ;
En cette circonstance, le fanatisme avait accédé à
l’identité d’une arme de guerre, tenue en réserve et fréquemment mise en
action par le FLN. Elle lui permit de déclencher des opérations de terrorisme à
échelle variable, chaque fois qu’il lui est apparu nécessaire de le faire.
En 1956, des enfants de confession juive d’Aïn-Beïda furent enlevés. On retrouva leurs corps dans un
puits quelques jours plus tard.
Cette même année, un couple d’Espagnols, des
communistes identifiés comme tels, connut un destin tragique. Il s’agissait de «
rouges » de la guerre civile espagnole qui vivaient à Alger depuis 1939.
J’étais leur médecin de famille et celui de leurs grands enfants. Ils
n’exerçaient aucune activité politique.
Ils furent massacrés, par des tueurs FLN, dans le
haut de Bab-El-Oued, parce qu’ils étaient Européens.
Le drame était présent, quotidien. Il fallait être
aveugle pour ne pas l’évaluer à sa véritable dimension. On voulait soumettre
notre peuple par une terreur constante.
L’avilir par la peur.
Et finalement, le soumettre.
C’était cette
identité dont nous revêtait l’ennemi, l’identité de « victime potentielle » qui,
pour moi, était devenue impossible à accepter.
Nous soumettre, en effet, à un statut d’agressé possible était une attitude génératrice
d’une dégradation de notre personnalité. Je sentais, dans mon intimité, que si
je me résignais à cette attitude passive, d’agressé potentiel, pardonnez-moi pour cette insistance, je risquais de perdre mon
statut d’homme libre... C’est une réflexion un peu inattendue peut-être. Elle
confère néanmoins leur véritable identité à ceux qui sont restés passifs
pendant un combat de plus de sept ans en Algérie.
Alors ?
Quelle attitude choisir ?
Une seule était possible et c’était tout simple :
Agressé ? Non !
Agresseur ? Oui !
Cette décision d’évoluer vers l’identité d’agresseur
imposait évidemment de me soumettre aux exigences constantes de l’action.
Une action qui devait, avant tout, être riche d’une
première propriété : être ressentie, être perçue, être identifiée comme une
opération de représailles par nos ennemis.
Elle nous imposait de nous soumettre à une nouvelle
interprétation, je veux dire un nouveau vécu de la réalité quotidienne.
Voilà pourquoi des sites de fréquentation habituels
se transformaient fréquemment dans mon esprit, en sites opérationnels
possibles. A chaque instant, j’appréciais le terrain de mes activités
journalières en fonction d’une agression que nous pourrions subir ou d’une
agression dont je serais l’auteur.
Comment conduire une carrière, vivre en totale
décontraction, comment être heureux, au Club des Pins ou à la Madrague, partir
en vacances en Métropole, ou ailleurs, alors que des concitoyens se faisaient
tuer tous les jours ! Alors que des soldats de Métropole, venaient jouer leurs
vies dans nos djebels ! Alors que nos compatriotes agriculteurs jouaient leurs
vies eux aussi, sur leurs terres !
Là où elle était possible, l’action devait être
envisagée. Une action adaptée aux conditions de vie de chacun d’entre nous. Car
il n’était pas question d’attendre de Français isolés dans l’intérieur des
terres, une attitude identique à celle de Français qui vivaient dans des
quartiers peuplés d’une forte concentration d’Européens.
Aujourd’hui j’accepte difficilement d’être jugé pour
mon action, par ceux de notre terre qui se sont complus dans un rôle de
spectateurs pendant plus de 7ans. Des spectateurs
distants, parfois hautains aujourd’hui, presque dédaigneux de notre passé de
combattants volontaires et clandestins de l’Algérie française, dès les premiers
jours de la guerre d’Algérie.
Suis-je devenu, pour autant, si difficile à vivre ?
Je ne le crois pas si je tiens compte du nombre de ceux qui m’encouragent dans
cet effort d’information auquel je consacre le temps réduit qui me reste encore
à vivre.
Mes antécédents m’imposent de participer à votre
information.
Avoir été l’un parmi les premiers à gérer une action
conduite en dehors de toute structure officielle, en dehors de toute
subordination aux dispositifs qui dépendaient des services spéciaux, avoir
dirigé une action dans laquelle j’ai engagé la totalité de mes moyens
personnels, du début à la fin, une action qui me conduisit en dernière étape à assumer la responsabilité nationale et internationale de l’Action et
du Renseignement de l’OAS, avoir assumé tout cela fut une tâche riche d’une
tragédie que vous ne pouvez pas imaginer. Une tragédie, en tout cas, qui a
modifié profondément ma personnalité.
Je tiens à rappeler que le général Salan, de sa main,
m’a désigné comme « pilier du combat pour l’Algérie française ». Il a
souligné, toujours de sa main, que j’avais toujours été « très près de lui
».
Une condamnation à mort par contumace me conduisit à
connaître une vie de « proscrit universel » de 1962 jusqu’au mois de janvier
1966.
Pas un seul pays au monde n’avait accepté de me
conférer un statut de réfugié politique
1966 fut l’année d’acceptation par le gouvernement
espagnol de mon statut de « réfugié politique ». Statut que je connus jusqu’à
l’amnistie de l’été 1968 consécutive aux journées de mai 1968… qui ébranlèrent
le gouvernement de la Vème République.
Amnistie imposée à De Gaulle par Massu, lors de la
fuite en Allemagne du président de la république en 1968. Massu, qui avait
abandonné l’Algérie française à partir de janvier 1960 sur ordre de De Gaulle, nous devait bien ça !
Avoir survécu à une foule d’embûches parce que le
plus souvent j’ai joui d’une chance inouïe, voilà ce qui constitue
l’arrière-fond constant de ma vie et m’autorise à participer à votre
information.
Une information que je tiens à vous livrer dans le
style de ce que je n’ai jamais cessé d’être : celui d’un praticien.
C’est le but de ce cycle d’études, le cycle de
l’adieu que je vous transmettrai… jusqu’à la fin.
Bonnes fêtes de fin d’année à tous.
1 « L’islamisme dans la guerre d’Algérie »
En prévision : le chapitre II de
ce cycle d’études, intitulé « Du cimetière d’El Kettar au centre de Bab-El-Oued », vous sera proposé dans 2
semaines.
N’hésitez-pas à consulter le site du Cercle Algérianiste de Nice et des Alpes Maritimes et tout particulièrement, la classification et études de Raphaël PASTOR et Hervé CUESTA.
L’assassinat
de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle. 2012
Un des livres du cinquantenaire, à lire et à
faire lire.
Vérités
tentaculaires sur l’OAS et la guerre d’Algérie
Stratégies
et tactiques, 2006 ; 2e Edition
Cet
ouvrage a été d’un grand recours dans la rédaction de cette étude
L’islamisme
dans la guerre d’Algérie
Logique de
la Nouvelle Révolution Mondiale, 2004
Le sang
d’Algérie
Histoire
d’une trahison permanente, 2006 ; 2e édition
Debout dans
ma mémoire
Tourments et
tribulations d’un réprouvé de l’Algérie française, 2006 ; 2e édition
Attaques et
Contre-attaques
Vérités
tentaculaires sur l’OAS et la guerre d’Algérie II, 2008
Editions Dualpha
Boite 37
16 bis rue d’Odessa
75014 PARIS
Tel. : 09 52 95 13 34 -
Fax : 09 57 95 13 34
Mail : infos@dualpha.com
Site internet : www.dualpha.com
Vous pouvez prendre connaissance des deux interview accordées par Jean-Claude PEREZ : - la première à Monsieur Olivier CAZEAUX : sur Internet tapez « OAS, le docteur PEREZ parle » ; - la
seconde, à Monsieur BESSOU dans le cadre de la préparation d’un film. Monsieur
BESSOU a livré à Jean-Claude PEREZ tout le matériau de son exposé visible sur
le site www.jean-claude-argenti-sauvain.com.
Mis en
page le 09/12/2015 par RP |