Un nouveau cycle d’études : chapitre 1

LE CYCLE DE L’ADIEU

CHAPITRE 1

L’INEVITABLE ENGAGEMENT
Par le docteur Jean-Claude PEREZ

2 L’agonie des cathédrales


Dès le mois d’octobre 1955, date de mon retour à la vie civile en tant que praticien de médecine générale, je pris la résolution de mettre sur pied à Alger, une structure clandestine de combat anti-FLN.

C’était donc après avoir effectué mon service militaire au 1er RTA.

Période au cours de laquelle j’avais enregistré une certitude : le refus du pouvoir de la IVème République française, de faire participer les Français d’Algérie à la lutte qui était imposée à la France sur ce territoire. De toute évidence on refusait de les intégrer en totalité à la mission de régler au plus vite ce conflit.

Conflit dont personne ne semblait soupçonner la gravité pour l’avenir de la France et des Français d’Algérie, pour l’Europe, pour l’Occident.

Conflit dont l’importance majeure se déduisait à partir de deux notions géopolitiques fondamentales sur lesquelles nous reviendrons.

Première notion : l’immensité de l’Algérie, un pays situé entre la Méditerranée au nord et l’Afrique subsaharienne au sud.

Deuxième notion : la proximité de cet immense territoire situé à 800 kilomètres environ du port de Marseille.

Permettez-moi de souligner que cette résolution fut une décision rigoureusement personnelle.

Je précise mon objectif d’alors : mettre sur pied une structure de combat offensive et agressive. Dans le but opérationnel de gêner une organisation ennemie de la France, le FLN. Celui-ci exprimait en effet une volonté tactique prioritaire : celle d’exercer un contrôle total sur la population française de confession musulmane.

Ce contrôle de la population musulmane de la part du FLN illustrait, selon ce dernier, un moyen de guerre jugé prioritaire et indispensable pour abattre la France en Algérie dans un premier temps. Et pourquoi pas pour prendre en mains ultérieurement le destin de la France métropolitaine. Ce qui était envisageable en cas de victoire FLN. Tout avait été d’ailleurs annoncé : « vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque » annonça en 1957 le chef FLN Ben M’Hidi.

Au cours de ce cycle d’études, le cycle de l’adieu, j’ai cru nécessaire de revenir sur des évènements qui ont été rapportés par d’autres auteurs et par moi-même précédemment.

J’ai cru opportun de les rappeler car l’actualité dramatique que nous avons vécue le 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis, illustre avant tout l’importance majeure qu’a tenu le fanatisme dans la guerre que nous avons connue en Algérie. Guerre que nous redoutons d’affronter encore sur le territoire de la mère-patrie.

 

Cette initiative que je crois devoir prendre, permettez-moi de la saisir aussi comme une occasion : celle d’apporter un démenti argumenté, sérieux et serein à la thèse d’un auteur franco-algérien de confession juive.

Celui-ci prétend démontrer que la conquête de l’Algérie fut effectuée dans le but de provoquer « Trois Exils ».

Des exils dont aurait été victime la collectivité de confession juive d’Algérie, primitivement apatride, secondairement de nationalité française à partir de 1830.

« Sidi-Ferruch en juin 1830 :

ce fut une agression anti-juive qui aboutit à un premier exil des juifs d’Algérie ».

Ainsi s’exprime en substance cet auteur pour le moins très mal informé.

Il s’agit d’une accusation étonnante si l’on prend la précaution de constater à quel point la conquête de l’Algérie doit s’identifier, tout au contraire, à une opération de délivrance : la délivrance de la dhimma juive d’Algérie.

J’ai écrit dans un de mes livres1 : « une véritable opération Entebbé ». 1

Permettez-moi de rappeler ce que j’avais déjà rapporté sur la signification de l’opération Entebbé.

Je cite :

« Idi Amin Dada, ancien berger nubien du temps de son enfance, prend le pouvoir en Ouganda, le 25 janvier 1971. Il rencontre alors le colonel libyen Khadafi. Il tombe sous son influence et se convertit à l’islam. Avant sa conversion, il était l’interlocuteur direct d’une mission israélienne à Kampala, capitale de l’Ouganda. Cette fonction l’avait conduit à effectuer quelques séjours en Israël.

Après sa conversion il déclenche des persécutions contre les non-musulmans et organise des crimes et des exactions qui annoncent des génocides de masse que va connaître l’Afrique. En 1976, sous l’influence de Khadafi, il prend en otage les passagers juifs d’un avion qui faisait escale à Kampala.

Son objectif, ou plutôt celui de Khadafi : faire pression sur le gouvernement de Tel-Aviv et obtenir la libération de chefs palestiniens emprisonnés. Ces otages seront libérés grâce à un audacieux raid de parachutistes israéliens sur Entébbé, ville située sur le lac Victoria qui dispose d’un aéroport, en l’occurrence l’aéroport international de Kampala. Ces otages seront ramenés en Israël le 3 juillet 1976. Le colonel commandant l’opération fut tué à l’occasion de ce raid. Il était un parent très proche du chef du gouvernement actuel d’Israël ».

 

Nous ne manquerons pas de revenir sur cette fausse accusation qui prétend conférer une identité ou plutôt une motivation anti-juive majeure à la présence française en Algérie.

La conquête de l’Algérie, tout au contraire, connut au premier plan une identité bien précise qu’il faut rappeler : un sauvetage de la collectivité d’Algérie de confession juive. La présence française apporta la liberté et le suprême privilège à cette collectivité minoritaire du peuple d’Algérie, de pratiquer ce culte monothéiste tel qu’il était pratiqué ……depuis « plus de 4.000 ans ».

« Ainsi nous l’avaient annoncé les Prophètes… »

 

Nous sommes en 1956

Une année qui mérite d’être évoquée.

Cette année-là, s’illustre comme une année terrible, à l’instar de beaucoup d’autres, durant l’intervalle historique maudit situé entre le 1er novembre 1954 et le 5 juillet 1962.

Le 5 juillet 1962.

Cette dernière date évoque un massacre : celui de nos concitoyens d’Oran. Elle est l’illustration sanguinaire majeure de la défaite gaulliste. Une défaite subie ou plutôt consentie, devant un ennemi de l’Occident. Ennemi dont la pugnacité s’exerce à travers la volonté de donner la mort, aujourd’hui encore. Comme nous l’avons enregistré lors de l’attentat contre « Charlie Hebdo » le mercredi 7 janvier 2015, en plein Paris. Aggravé par celui de la Porte de Vincennes. Volonté de donner la mort, affirmée à grande échelle le vendredi 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis.

Sauvagerie exprimée en d’autres occasions par l’intermédiaire de médias complaisants : décapitations, pendaisons, égorgements spectaculaires d’otages occidentaux ou musulmans, assassinats exhibés, j’insiste avec force, « par des médias complaisants ».

Il n’entre pas dans l’esprit de ce travail de couvrir d’un silence inacceptable le destin tragique que connurent nos frères d’armes du combat ultime de l’OAS, assassinés par le pouvoir gaulliste.

Piegts, Dovecar, De Gueldre, Bastien-Thirry, nos fusillés.

D’autres aussi qui furent assassinés par les complices gaullistes de l’anti-Occident :

- nos harkis, lynchés en masse par des tueurs qui ont bénéficié d’une totale liberté d’action de la part du pouvoir français de l’époque ;

- notre peuple français, fusillé le 26 mars à Alger et lynché le 5 juillet 1962 à Oran.

 

Revenons à l’année 1956.

Ce fut l’année d’une embuscade tragique dans la région de Palestro. En Grande Kabylie. 17 soldats français et un sous-lieutenant récemment arrivés de Métropole furent massacrés.

Je n’évoque pas seulement la mort qui, fréquemment s’inscrit dans le destin prévisible des soldats en opération.

Ce que je veux évoquer ici c’est ceci : 18 soldats grièvement blessés, furent achevés.

 

Non pas par leurs agresseurs.

Ils furent livrés par ces derniers à la population locale. Sur ordre des hommes de Khodja, des femmes et des hommes de cette population locale furent dans l’obligation, sous peine de mort, d’achever nos blessés victimes de l’embuscade de Khodja, en les égorgeant, en les émasculant, en leur ouvrant le ventre, en leur crevant les yeux.

Voilà le destin qui fut réservé à nos compatriotes de la Mère-Patrie, qu’un pouvoir mal instruit de la signification de la guerre d’Algérie, avait engagés dans une opération périlleuse. Pouvoir qui n’était pas informé du renfort d’armes modernes dont avait bénéficié Khodja.

Cette embuscade fut possible en effet et couronnée de succès parce que Khodja avait pris livraison préalablement, d’un armement de choix. Cet armement avait été tout d’abord entreposé dans la villa Pouillon, située au Clos Salembier à Alger, par l’aspirant Maillot qui avait volé ces armes pour le compte du FLN.

Une citoyenne française, Madame Chaulet, chrétienne-militante du FLN, engagée à outrance contre la France en Algérie, séjournait souvent dans cette villa dont le maire FLN d’Alger, Jacques Chevallier, avait une jouissance privilégiée.

Cette prestigieuse villa, un peu plus tard, hébergea d’autres locataires occasionnels. J’évoque parmi ceux-ci un cadre supérieur de l’OAS qui, au printemps 1962, imposa par surprise, à mon insu total, sur ordre de Jaques Chevallier et de Farès, le cessez-le-feu des deltas à Alger.

Cessez-le-feu dont il faut retenir avant toute autre considération, qu’il officialise historiquement, pour l’éternité, la date réelle de la mort effective de l’Algérie française.

Je précise : l’Algérie française est morte officiellement à l’instant précis du cessez-le-feu des deltas d’Alger.

Madame Chaulet, en 1956, fut chargée de livrer à nos ennemis dans le secteur de Palestro, une partie des armes volées par l’aspirant Maillot. Grâce à cet armement, le massacre que nous avons évoqué, fut possible.

Massacre réitéré en d’autres lieux pendant plus de sept ans, au nom d’une justice sociale revendiquée par ceux qui, en réalité, s’étaient soumis par leur rébellion et leurs crimes, aux exigences opérationnelles du capitalisme financier.

Celui-ci ne poursuivait qu’un but que nous rappelons : se délester économiquement et socialement du peuple algérien.

Se libérer de la charge financière qu’exigeait tout particulièrement la couverture sociale et sanitaire du peuple algérien.

 

Ce style d’opérations consistant en lynchages de Français, qu’ils fussent militaires ou civils, avait déjà été expérimenté en 1955.

Le 20 août de cette année fut déclenché ce que les auteurs algériens se sont attachés à décrire sous le titre de « l’opération du 20 août 1955 ».

Tout près de Philippeville, dans l’extrême-est algérien, ce jour-là, fut organisée « une boucherie » selon la terminologie utilisée par les exécuteurs eux-mêmes. Une boucherie qu’ils espéraient spectaculaire et massive, selon les exigences formulées par les ordonnateurs de cette opération du 20 août 1955. Ceux-ci agissaient comme les décideurs, insistons encore, en faisant intervenir la population musulmane locale, fanatisée en cette circonstance par les responsables eux-mêmes commandés par Zighout.

Des Français désarmés, des vieillards, des femmes, un nourrisson même, furent massacrés au milieu d’un exhibitionnisme recherché de cruauté. Dans une double finalité clairement, ou mieux officiellement, formulée :

- d’une part, soumettre les populations européennes locales à la terreur et à la panique ;

- d’autre part, espérer des représailles punitives aveugles, exercées contre les musulmans par la population française, animée d’une volonté de vengeance.

 

En cette circonstance, le fanatisme avait accédé à l’identité d’une arme de guerre, tenue en réserve et fréquemment mise en action par le FLN. Elle lui permit de déclencher des opérations de terrorisme à échelle variable, chaque fois qu’il lui est apparu nécessaire de le faire.

En 1956, des enfants de confession juive d’Aïn-Beïda furent enlevés. On retrouva leurs corps dans un puits quelques jours plus tard.

Cette même année, un couple d’Espagnols, des communistes identifiés comme tels, connut un destin tragique. Il s’agissait de « rouges » de la guerre civile espagnole qui vivaient à Alger depuis 1939. J’étais leur médecin de famille et celui de leurs grands enfants. Ils n’exerçaient aucune activité politique.

Ils furent massacrés, par des tueurs FLN, dans le haut de Bab-El-Oued, parce qu’ils étaient Européens.

Le drame était présent, quotidien. Il fallait être aveugle pour ne pas l’évaluer à sa véritable dimension. On voulait soumettre notre peuple par une terreur constante.

L’avilir par la peur.

Et finalement, le soumettre.

 

C’était cette identité dont nous revêtait l’ennemi, l’identité de « victime potentielle » qui, pour moi, était devenue impossible à accepter.

Nous soumettre, en effet, à un statut d’agressé possible était une attitude génératrice d’une dégradation de notre personnalité. Je sentais, dans mon intimité, que si je me résignais à cette attitude passive, d’agressé potentiel, pardonnez-moi pour cette insistance, je risquais de perdre mon statut d’homme libre... C’est une réflexion un peu inattendue peut-être. Elle confère néanmoins leur véritable identité à ceux qui sont restés passifs pendant un combat de plus de sept ans en Algérie.

Alors ?

Quelle attitude choisir ?

Une seule était possible et c’était tout simple :

Agressé ? Non !

Agresseur ? Oui !

Cette décision d’évoluer vers l’identité d’agresseur imposait évidemment de me soumettre aux exigences constantes de l’action.

Une action qui devait, avant tout, être riche d’une première propriété : être ressentie, être perçue, être identifiée comme une opération de représailles par nos ennemis.

Elle nous imposait de nous soumettre à une nouvelle interprétation, je veux dire un nouveau vécu de la réalité quotidienne.

Voilà pourquoi des sites de fréquentation habituels se transformaient fréquemment dans mon esprit, en sites opérationnels possibles. A chaque instant, j’appréciais le terrain de mes activités journalières en fonction d’une agression que nous pourrions subir ou d’une agression dont je serais l’auteur.

Comment conduire une carrière, vivre en totale décontraction, comment être heureux, au Club des Pins ou à la Madrague, partir en vacances en Métropole, ou ailleurs, alors que des concitoyens se faisaient tuer tous les jours ! Alors que des soldats de Métropole, venaient jouer leurs vies dans nos djebels ! Alors que nos compatriotes agriculteurs jouaient leurs vies eux aussi, sur leurs terres !

Là où elle était possible, l’action devait être envisagée. Une action adaptée aux conditions de vie de chacun d’entre nous. Car il n’était pas question d’attendre de Français isolés dans l’intérieur des terres, une attitude identique à celle de Français qui vivaient dans des quartiers peuplés d’une forte concentration d’Européens.

Aujourd’hui j’accepte difficilement d’être jugé pour mon action, par ceux de notre terre qui se sont complus dans un rôle de spectateurs pendant plus de 7ans. Des spectateurs distants, parfois hautains aujourd’hui, presque dédaigneux de notre passé de combattants volontaires et clandestins de l’Algérie française, dès les premiers jours de la guerre d’Algérie.

Suis-je devenu, pour autant, si difficile à vivre ? Je ne le crois pas si je tiens compte du nombre de ceux qui m’encouragent dans cet effort d’information auquel je consacre le temps réduit qui me reste encore à vivre.

Mes antécédents m’imposent de participer à votre information.

Avoir été l’un parmi les premiers à gérer une action conduite en dehors de toute structure officielle, en dehors de toute subordination aux dispositifs qui dépendaient des services spéciaux, avoir dirigé une action dans laquelle j’ai engagé la totalité de mes moyens personnels, du début à la fin, une action qui me conduisit en dernière étape à assumer la responsabilité nationale et internationale de l’Action et du Renseignement de l’OAS, avoir assumé tout cela fut une tâche riche d’une tragédie que vous ne pouvez pas imaginer. Une tragédie, en tout cas, qui a modifié profondément ma personnalité.

Je tiens à rappeler que le général Salan, de sa main, m’a désigné comme « pilier du combat pour l’Algérie française ». Il a souligné, toujours de sa main, que j’avais toujours été « très près de lui ».

Une condamnation à mort par contumace me conduisit à connaître une vie de « proscrit universel » de 1962 jusqu’au mois de janvier 1966.

Pas un seul pays au monde n’avait accepté de me conférer un statut de réfugié politique

1966 fut l’année d’acceptation par le gouvernement espagnol de mon statut de « réfugié politique ». Statut que je connus jusqu’à l’amnistie de l’été 1968 consécutive aux journées de mai 1968… qui ébranlèrent le gouvernement de la Vème République.

Amnistie imposée à De Gaulle par Massu, lors de la fuite en Allemagne du président de la république en 1968. Massu, qui avait abandonné l’Algérie française à partir de janvier 1960 sur ordre de De Gaulle, nous devait bien ça !

Avoir survécu à une foule d’embûches parce que le plus souvent j’ai joui d’une chance inouïe, voilà ce qui constitue l’arrière-fond constant de ma vie et m’autorise à participer à votre information.

Une information que je tiens à vous livrer dans le style de ce que je n’ai jamais cessé d’être : celui d’un praticien.

C’est le but de ce cycle d’études, le cycle de l’adieu que je vous transmettrai… jusqu’à la fin.

Bonnes fêtes de fin d’année à tous.

 

1 « L’islamisme dans la guerre d’Algérie »

 

En prévision : le chapitre II de ce cycle d’études, intitulé « Du cimetière d’El Kettar au centre de Bab-El-Oued », vous sera proposé dans 2 semaines.

N’hésitez-pas à consulter le site du Cercle Algérianiste de Nice et des Alpes Maritimes et tout particulièrement, la classification et études de Raphaël PASTOR et Hervé CUESTA.



  BIBLIOGRAPHIE

 

L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle. 2012

Un des livres du cinquantenaire, à lire et à faire lire.

Vérités tentaculaires sur l’OAS et la guerre d’Algérie

Stratégies et tactiques, 2006 ; 2e Edition

            Cet ouvrage a été d’un grand recours dans la rédaction de cette étude

L’islamisme dans la guerre d’Algérie

Logique de la Nouvelle Révolution Mondiale, 2004

Le sang d’Algérie

Histoire d’une trahison permanente, 2006 ; 2e édition

Debout dans ma mémoire

Tourments et tribulations d’un réprouvé de l’Algérie française, 2006 ; 2e édition

Attaques et Contre-attaques

Vérités tentaculaires sur l’OAS et la guerre d’Algérie II, 2008

 

Editions Dualpha

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Vous pouvez prendre connaissance des deux interview accordées par Jean-Claude PEREZ :

- la première à Monsieur Olivier CAZEAUX : sur Internet tapez « OAS, le docteur PEREZ parle » ;

- la seconde, à Monsieur BESSOU dans le cadre de la préparation d’un film. Monsieur BESSOU a livré à Jean-Claude PEREZ tout le matériau de son exposé visible sur le site www.jean-claude-argenti-sauvain.com.

 

 

Mis en page le 09/12/2015 par RP