Un nouveau cycle d’études : chapitre 12
LE CYCLE
DE L’ADIEU
CHAPITRE
XII
A PROPOS D'UN DOUBLE FAUX EXIL DES JUIFS D'ALGERIE IMPUTABLE A LA FRANCE ,
SELON LES ECRITS DE NOTRE ACCUSATEUR….
PREMIERE PARTIE…..
Dans la rédaction des chapitres X et XI du Cycle
de l’Adieu, j’ai proposé quelques réflexions approfondies sur l’origine
lointaine et officiellement méconnue de l’agression arabo-islamiste
fondamentaliste actuelle.
Agression
mise en oeuvre contre l’Occident.
Agression
dont l’ampleur sanguinaire que nous subissons parfois, doit sa réalité
historique au gaullisme « cinquante-huitard ».
Permettez-mois
de rappeler une définition que je me permets de qualifier de « pragmatique » sinon de « tactique » de l’Occident.
L’Occident
est défini par l’ensemble des nations ou plutôt des structures géopolitiques à l’intérieur desquelles les chrétiens peuvent vivre en toute liberté et
sécurité.
Liberté
de pratiquer leur culte, dans le respect bipolaire suivant :
-
d’une part, un respect convaincu, sagement exprimé, de leurs propres
convictions spirituelles,
-
d’autre part, un respect convaincu et simultané de la laïcité universelle.
Laïcité
universelle qui permet de vivre leurs cultes à ceux qui manifestent
publiquement des convictions religieuses chrétiennes ou des convictions
religieuses différentes du christianisme, bien évidemment.
Les
convictions religieuses, sans exception, ne doivent pas oublier dans cette
perspective, la nécessité absolue de se conformer à un « apriori fondamental ».
Celui-ci est défini par la laïcité, qui rejette les notions de tabou et de
soumission.
Cette laïcité voulue et votée par la majorité populaire, définit
les conditions nécessaires et suffisantes à la pratique d’un culte, dans une société
qui se prétend démocratique.
Une
société, insistons encore, qui exige que l’expression publique de ce culte
s’exerce dans le respect des lois votées par les représentants élus du peuple
souverain.
Conditions
qui, seules, permettent d’envisager une convivialité religieuse génératrice de
liberté et de joie de vivre.
Permettez-moi de revenir à ma volonté de
combattre une thèse : celle d’un concitoyen, intellectuel connu, de confession juive,
originaire d’Algérie, qui soutient que la France, par son invasion de la régence
turque d’Alger en 1830, porte la responsabilité de l’exil qui fut
imposé aux juifs d’Algérie en 1962.
Cet
historien semble vouloir exprimer que si la France a pris pied sur la terre de
la Régence Turque d’Alger en 1830, c’était dans un but majeur : celui de
provoquer une expulsion des juifs de ce territoire.
Contrevérité
évidente, si l’on veut bien ne pas oublier l’identité réelle de la conjuration
judéo-capitaliste internationale, d’origine algérienne, qui fut à l’origine du
débarquement français à Sidi-Ferruch ainsi que de la
bataille de Staoueli, préalable à la prise d’Alger.
Je
ne renonce pas, néanmoins, à dédier les quatre chapitres qui vont suivre, à cet
historien… imprudent.
Quatre
chapitres qui vont évoquer :
« un double exil vécu par les juifs d’Algérie
qui serait imputable à la France ».
Précisons
:
double exil qui serait une conséquence,
d’après notre accusateur obsessionnel :
-
d’une part de l’abrogation du décret Crémieux par le gouvernement du maréchal
Pétain le 7 octobre 1940 ;
-
d’autre part, de la « non-abrogation de cette abrogation » dès le mois
de décembre 1942, par le général Giraud. Dans les jours qui ont suivi
l’opération Torch du 8 novembre 1942.
« De quel droit t’autorises-tu à livrer un éclairage
personnel sur les problèmes et drames qu’ont vécus parfois, elles-aussi, les collectivités
françaises d’Algérie, de confession juive ? »
J’ai
du affronter cette interrogation à maintes reprises.
Interrogation
formulée très souvent sur un mode agressif injustifié.
Je
réponds chaque fois, sans me départir de ma sérénité :
« du droit ou plutôt du besoin d’exprimer
une vérité qu’il faut étayer, si nécessaire, par une confirmation de chaque instant
».
Voici
cette vérité :
les combattants de l’Algérie française, dont
je m’enorgueillis d’avoir fait partie pendant 8 ans, n’ont jamais été inspirés
par « le » ou « un » racisme.
Dans
mes différents ouvrages d’une part, dans mes études publiées sur internet
depuis des années d’autre part, je ne me souviens pas de m’être singularisé par
un quelconque ostracisme religieux ou ethnique.
En
revanche, il est difficile de ne pas faire un constat inverse : des ostracismes
religieux, violents, souvent sanguinaires, se sont exprimés en Algérie dans le
camp de ceux qui parvinrent à mettre en route, à partir de là-bas, un
bouleversement de l’identité de la France. Un bouleversement de la sérénité de
la France, de l’Europe et de l’Afrique….. finalement, la sérénité et l’identité même de l’Occident.
Une
précision doit être cependant relevée :
il est nécessaire de ne pas oublier que
pendant le déroulement du conflit algérien de 1954 à 1962, les motivations religieuses
de nos ennemis furent particulièrement discrètes dans leur expression publique.
Bien que réelles dans le déterminisme de ce conflit ».
Elles
ont été couvertes par un black-out opportuniste.
Black-out qui permit à l’appareil décisionnaire de la révolution
algérienne, de faire donner son exécuteur historique majeur : De Gaulle.
Celui-ci
fut néanmoins engagé dans une guerre de libération.
Certes.
Mais
libération de quoi ?
La libération de l’argent ou plutôt du capital.
Une
libération de moyens financiers dans le but exclusif de permettre à ces
derniers d’accéder à une valeur ajoutée augmentée.
Cette mission fut accomplie par
l’intermédiaire d’exécutants connus, bien que subalternes, des financiers
néo-vénitiens modernes : Joxe, Tricot, de Broglie, Buron et d’autres encore.
Leur
tâche historique fut d’officialiser par un traité la défaite qui fut consentie
le 19 mars 1962. Date de la dite Paix d’Evian dont il faut souligner qu’elle
constitue historiquement le point de départ de la révolution jihadique, déclenchée à l’échelon universel depuis lors.
Ceux
qui ont célébré officiellement en 2016 l’anniversaire de la défaite gaulliste
du 19 mars 1962, ont oublié de souligner que cette date définit
fondamentalement, le point de départ de l’actuelle révolution mondiale
arabo-islamiste déclenchée pour la domination finale du monde.
L’identité économique, c’est-à-dire l’identité capitaliste
majeure de la défaite d’Algérie, a fini cependant par être revendiquée sans
pudeur aujourd’hui.
Ce
fut une motivation dissimulée dans un premier temps. Puis exprimée sans fard en
2016. Plus encore exprimée avec hargne et dédain de nos jours.
Car
ce qu’il était nécessaire d’obtenir, d’après les décideurs de l’abandon,
c’était de se débarrasser au plus vite d’un peuple.
De
la charge financière d’un peuple.
Plus
concrètement, de se libérer du devoir d’assumer la couverture sociale et sanitaire
de ce même peuple.
Tel
était le projet tactique immédiat de puissants intérêts financiers qui ont mis
en oeuvre, pour l’accomplissement de cette tache, la
Vème République française, dirigée par De Gaulle.
Pour
parvenir à cet accomplissement, on a contribué à élaborer une désaffection du
peuple d’Algérie, de confession musulmane, à l’égard de la France.
A
partir de 1925, année de la naissance des Cénacles d’Etude créés par
Omar Smaïl cheik.
Omar Smaïl,
arrière petit-fils de l’émir Ab el Kader, sut mettre en action, au sens opérationnel
de ce terme, l’arme tactique majeure de la guerre d’Algérie dès 1925 : l’arme
religieuse.
Il
avait exprimé l’urgence de forger cette arme, au lendemain de la loi du 4
février 1919.
Nous
reviendrons sur le rôle joué fondamentalement par cette loi de Georges
Clémenceau, dans le déclenchement de la guerre d’Algérie.
Rappelons
cependant que ce fut une loi ou plutôt un processus légal et administratif
permettant à un national français de confession musulmane, d’accéder à
la citoyenneté française.
Accéder
donc aux droits et devoirs véhiculés par la citoyenneté française, au Sud comme
au Nord de la Méditerranée.
Ce
fut une loi qui bénéficia officiellement d’une extrême commodité de
promulgation.
Son
observance ne posait théoriquement aucun problème administratif ou
pratique. Dans la mesure où les hommes d’Etat Français de 1919 ne répugnassent
pas à faire de l’indigène algérien, un citoyen français.
Nous
reverrons l’usage réel qui fut fait de cette autorisation d’accéder au rang de
citoyen français avec une exceptionnelle simplicité.
En
1957, en pleine guerre d’Algérie, le fondement conquérant qui animait
les déclencheurs de la guerre d’Algérie, fut révélé par Ben M’Hidi. Celui-ci, avant de mourir, avait déclaré :
« vous voulez la France de Dunkerque
à Tamanrasset,
je vous prédis moi, que
vous aurez l’Algérie
de Tamanrasset à Dunkerque
».
La
mort n’a pas permis à ce chef FLN de constater à quel point sa prévision
connait aujourd’hui sinon un début du moins une amorce de réalisation.
Cet
accomplissement vécu à travers l’abandon de l’Algérie française, le 19 mars
1962, phase majeure du processus dit « de décolonisation », poursuivait
un but qu’il nous faut rappeler sans cesse : l’assassinat de la France
sud-méditerranéenne.
La
finalité occultée, complémentaire et exclusive de cet assassinat, était en
réalité de libérer le capital financier de la charge sociale et sanitaire du
peuple algérien. D’un peuple dont le destin, d’après De Gaulle tel qu’il
l’exprima dans son pauvre discours du 16 septembre 1959 était « d’être miséreux
».
Rappelons encore et encore la phrase
limpide de l’historien Jacques Marseille :
« tout semble s’être passé comme si le
capital financier avait dû attendre la décolonisation pour effectuer sa percée ».
Il
s’agit d’une phrase courtoise et polie émanant de toute évidence d’un doctorant
qui redoutait peut-être de se faire rappeler à l'ordre par son jury de thèse.
Un jury qui représentait sans aucun doute la quintessence intellectuelle de la
pensée officielle et moderne qu’il ne fallait pas encore dévoiler dans sa
réalité fondamentale au grand public.
On
a décolonisé.
On
a perdu l’Algérie par le moyen d’une défaite officielle célébrée avec un
exhibitionnisme masochiste en 2016 !
On
a favorisé quelques massacres civils français d’Algérie et déclenché un
génocide de dizaines de milliers de Harkis.
Quelle
importance !
Ce
qu’il fallait, c’était libérer l’argent de charges humaines jugées
trop couteuses. Oui, trop onéreuses et surtout inutiles, prétendaient les
planificateurs financiers du délestage économique du débouché algérien.
Ont-ils
effectivement dégagé une valeur ajoutée ? Dans l’affirmative, qu’en ont-ils
fait de cette valeur ajoutée ?
Ou
plutôt, dans quel domaine est éventuellement investie cette valeur ajoutée ?
Ou
plus simplement : qui en tire réellement profit ?
Pauvres
complices gaullistes !
Ils
ont applaudi au « grand renouvellement » annoncé par l’homme de Colombey !
Il
n’en reste pas moins que leur évidente incompétence, dans la construction des
avenirs glorieux qu’ils ont prétendu générer, illustre leur véritable identité.
Celle
de décideurs dangereux.
L’avenir
qu’ils ont ouvert ne cesse de s’illustrer par des drames. Des drames qui
confirment leur identité exclusive d’authentiques criminels contre l’humanité.
Soulignons-le une fois de plus.
Les
peuples africains, médio-orientaux et d’autres encore connaissent des épisodes
de tueries collectives répétées. En attendant que des drames identiques se
banalisent en terres européennes et américaines.
Il
n’est pas inutile de rappeler l’avertissement du 11 septembre 2001 aux
Etats-Unis, ainsi que celui du 13 novembre 2015 à Paris et Saint Denis. Et
beaucoup d’autres.
Les gaullistes étaient, en apparence,
obsédés par une seule perspective : mettre en oeuvre une décolonisation dont ils claironnaient qu’elle allait générer des bénéfices.
Des bénéfices menteurs si on contente de les apprécier en fonction de la
qualité de vie pathologique actuelle qu’ils ont générée à l’échelon
d’une fraction élargie de la planète.
L’état
de l’Afrique subsaharienne et d’une partie explorable du Maghreb, illustrent la réalité quotidienne des malheurs qu’a
engendrés cette recherche obsessionnelle d’une plus forte valeur ajoutée telle
que la conduisaient les potentats néo-vénitiens de la finance internationale,
que nous avons déjà évoqués.
Des
malheurs, à travers des drames dignes de contes fantastiques du moyen-âge,
riches de leur cortège inéluctable de massacres de populations, de viols massifs
de jeunes femmes, tout particulièrement lorsqu’elles sont chrétiennes.
Viols
collectifs de collégiennes africaines chrétiennes, captives, exhibées encore
récemment comme des trophées militaires par ceux qui se donnent pour tache de
conquérir le monde occidental.
Cette volonté de nier un arrière-fond
religieux à la guerre d’Algérie, un arrière-fond d’importance tactique majeure,
est responsable d’oublis de la part des historiens, parfois « thésés », qui évoquent avec talent le conflit que nous
avons vécu !
Un
de ces oublis, nous l’avons souligné dès l’introduction de ce travail, est
illustré par l’impasse que font les historiens modernes sur la déclaration
fondamentale du cheik des ouléma, El Bachir el Ibrahimi.
Déclaration
qui fut communiquée au monde entier, le 1er novembre 1954, à partir du Caire et
qui a constitué la matière de la Thèse introductive de ce Cycle de l’Adieu, dont ce travail constitue le XIIème chapitre.
El
Bachir précisa le jour de la Toussaint Rouge 1954, permettez-moi de le
rappeler, que le combat était engagé :
« pour le triomphe de l’arabisme et de
l’islam ».
C’était
une formulation exprimant avec une clarté limpide, la tactique fondamentale
qui allait définir la guerre d’Algérie.
Tactique
dont il est facile aujourd’hui, d’évaluer à quel degré de mise en application
opérationnelle elle est parvenue.
Rappelons
qu’Ibrahim Bachir, qui fut aussi enseignant, au Proche Orient, de littérature
arabe classique, était né en Kabylie à Tocqueville, Ras el Oued aujourd’hui,
entre Bougie, ma ville natale, et Sétif. Il fut chargé d’installer avec son
président, Ben Badis en 1931, l’Association des ouléma, créée par Omar Smaïl cheikh, en vertu des possibilités offertes par la loi française de 1901. L’acte de
foi de cette association s’exprima à travers un dogme, de grande portée
révolutionnaire.
Un
dogme qui anima constamment ceux qui firent la guerre contre la France pendant
8 ans.
Dogme
longtemps couvert par un silence tactique, nous le soulignons avec
vigueur :
ma religion c’est l’islam,
ma langue c’est l’arabe, ma patrie, c’est l’Algérie.
Dans
cette profession de foi, tout est annoncé.
En
premier lieu, la foi dans le message du Prophète de la Mecque et de Médine.
En deuxième lieu, l’importance universelle
mais surtout l’importance opérationnelle majeure de la langue arabe dont
l’usage est revendiqué par l’élite intellectuelle du peuple berbère d’Algérie.
La langue arabe, « la substance phonique de l’islam » ou encore, « l’outil
conceptuel du combat pour l’islamisation universelle ».
Enfin,
en troisième lieu, l’identification d’une patrie : l’Algérie.
L’Algérie
est désignée par cet ouléma, comme la patrie de ceux qui ont décidé de prendre
part, en termes révolutionnaires, à l’expansion ou plutôt à l’implantation universelle
de leur culte.
L’Algérie
devient ainsi un territoire, une position militaire majeure selon Ibrahim Bachir,
dans la mise en train de la révolution arabo-islamiste fondamentaliste et
universelle.
Dans cette affirmation, El Bachir ne faisait que manifester sa
conformité opérationnelle avec les influences levantines.
La
Révolution arabo-islamiste fondamentaliste déclenchée dans sa phase moderne et
toujours actuelle, le 1er novembre 1954, dans les Aurès, au Sud-Est de
l’Algérie, s’est actualisée avec une violence inouïe en novembre 2015 à Paris
et Saint-Denis. Puis à Bruxelles en mars 2016.
C’est la même guerre qui se poursuit actuellement à travers ces
drames récents.
Drames
actuels qui définissent le temps post-algérien de la lutte engagée par le
fondamentalisme islamiste universelle pour la domination finale du monde,
n’hésitons pas à le rappeler.
Ces éléments de réflexion qui me viennent à
l’esprit à chaque instant et que j’exprime d’une manière apparemment
désordonnée, me font comprendre en réalité à quel point je supporte mal ceux
qui m’ont interpelé et qui m’interpellent encore en me disant :
«
Mais de quoi te mêles-tu ? Qui t’autorise à évoquer l’avenir religieux de ce
territoire très important du globe terrestre que constituait l’Algérie
française et que constitue aujourd’hui l’Algérie ? »
Je
réponds ceci :
« l’Algérie c’est un immense pays, au nord de l’Afrique.
Au sud de la Méditerranée. Un pays qui côtoie des zones où projette de prendre
racine une mouvance arabo-islamiste fondamentaliste à déterminisme invasif
universel.
Ou
plutôt à finalité conquérante ».
Tout
cela illustre une vérité que, comme d’autres, je constate à chaque heure.
L’Algérie,
oui l’immense Algérie, pourrait tenir éventuellement un rôle majeur dans le
devenir de l’islamisme envahisseur, qui ambitionne de soumettre l’Occident
total, de Los Angelès à Vladivostock,
d’ouest en est.
Tout
cela, c’est donc mon affaire ! La mienne et celle des autres !
De
ceux qui aspirent à la paix du monde !
C’est
l’affaire de ceux qui refusent d’être soumis.
Cette immensité de l’Algérie, au nord de
l’Afrique et au sud de la Méditerranée occidentale, à 800 km de Marseille seulement,
permet de faire toucher du doigt l’aveuglement géopolitique criminel de ceux
qui ont organisé la séparation de ce pays de la nation française d’abord, et de
l’Europe ensuite. Qui n’ont pas prévu les conséquences inéluctables de cette
séparation sur la santé de la France et de l’Europe. De l’Occident.
Dans
l’intimité de mes convictions de défenseur de l’Algérie française, dès le
déclenchement de la guerre d’Algérie, celle-ci représentait un territoire de
rencontre majeure entre un Occident balbutiant qui s’efforçait de naître et l’Afrique….
L’Afrique,
riche avant tout de ses divisions, annonciatrices de malheurs, à l’échelon
universel, si la France et l’Europe l’abandonnaient. Ou plutôt, la désertaient !
Malheurs
illustrés aujourd’hui par les convois de migrants qui viennent chercher la vie
au nord de la Méditerranée.
Pour
le moment, des réfugiés…. demain…. des envahisseurs ?
Cette
constatation, que nous impose de faire la réalité quotidienne, devrait
m’inciter à ne rien répondre à ceux qui me reprochent de vouloir prendre le
contrepied de cet historien qui évoque les « exils imposés par la France à la
collectivité française d’Algérie de confession juive ».
Je
réponds ceci :
je n’oublie pas que comme ma vie scolaire,
professionnelle et sportive, mon combat pour l’Algérie française fut étroitement
lié à la collectivité française de confession juive d’Algérie.
Cette
collectivité fut très majoritairement solidaire de la France en Algérie,
pendant la guerre de 8 ans qu’un pouvoir pervers, soumis aux exigences
comptables du capitalisme financier, a voulu conclure par une défaite dont les
conséquences s’expriment parfois…. avec une cruauté
spectaculaire.
Jean-Claude
PEREZ
Nice,
Le
10 mai 2016
N’hésitez-pas à
consulter le site du Cercle Algérianiste de Nice et des Alpes Maritimes et tout
particulièrement, la classification et études de Raphaël PASTOR et Hervé CUESTA.
BIBLIOGRAPHIE
L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête
islamiste actuelle. 2012
Un des livres du cinquantenaire, à lire et à faire lire.
Vérités tentaculaires sur l’OAS et la guerre d’Algérie
Stratégies et tactiques, 2006 ; 2e Edition
Cet ouvrage a été d’un grand recours dans la rédaction de cette
étude
L’islamisme dans la guerre d’Algérie
Logique de la Nouvelle Révolution Mondiale, 2004
Le sang d’Algérie
Histoire d’une trahison permanente, 2006 ; 2e édition
Debout dans ma mémoire
Tourments et tribulations d’un réprouvé de l’Algérie française, 2006 ; 2e édition
Attaques et Contre-attaques
Vérités tentaculaires sur l’OAS et la guerre d’Algérie II, 2008
Editions
Dualpha
Boite
37
16
bis rue d’Odessa
75014
PARIS
Tel.
: 09 52 95 13 34 - Fax : 09 57 95 13 34
Mail
: infos@dualpha.com
Site internet : www.dualpha.com
Vous
pouvez prendre connaissance des deux interview accordées par Jean-Claude PEREZ :
-
la première à Monsieur Olivier CAZEAUX : sur Internet tapez « OAS, le docteur
PEREZ parle » ;
- la
seconde, à Monsieur BESSOU dans le cadre de la préparation d’un film. Monsieur
BESSOU a livré à Jean-Claude PEREZ tout le matériau de son exposé visible sur
le site www.jean-claude-argenti-sauvain.com.
Mis en
page le 12/05/2016 par RP. Modifié le 20/05/2016. |