82 Comme une envie
de faire le point ou plus, le coup de « poing ! »
Celui dans la gueule des médias et des
instituts de sondages, une fois de plus en dessous de l’honneur que devrait
mériter ces professions. Elles se sont montrées à l’identique de ce qu’elles
nous font vivre depuis des décennies : duplicité, mensonges, trahison,
relativisme avec ce relent d’obsession haineuse contre le besoin d’ordre et de
renouveau du pays. « Depuis la
création de « libé », il y a un demi siècle, les journalistes
français sont taillés dans le même patron mental » écrit Denis
Tillinac. Il a raison !
Ils sont nombreux ces gens des médias et
consort, à cacher sous des allures « bobos » leur penchant gauchiste,
ou plus... Ils incarnent une pensée pacifiste et antipatriotique : celle
qui veut conduire la France à sa destruction. Ces journalistes affiliés à un
socialisme inefficace, sous un semblant de couverture démocratique, sont contre
ceux qui ne pensent pas comme eux. Les lois mémorielles votées par la gauche et
une droite faible et complexée en sont un des exemples : une idéologie
passéiste et dangereuse occultant la réalité de notre monde en recherche
d’ordre, d’une vraie liberté d’expression et de pluralisme.
Témoin ?
Le présent tour des élections présidentielle ! Les médias se sont trompés,
lourdement, rageusement. Ils se cherchent des excuses en accusant Nicolas Sarkozy
d’avoir favorisé le F.N. Une fois de plus, ceux sont les « autres »
qui sont fautifs. Ils tentent ainsi de rejeter leur crime mensonger sur les
« autres » et ne veulent pas admettre leur défaite, parce qu’ils
croient posséder la vérité alors qu’ils sont le MENSONGE !
Dès ce matin, 23 avril, leurs navrantes
prestations, leur babillage pour expliquer leur défaite est pour moi un plaisir.
Aveuglés par leur idéologie circonscrite au pire et leur insidieuse démagogie,
vite la peur prend le dessus : « Attention à Marine ! » et
ils mentent, car Marine le Pen représente simplement cette droite sans magouilles,
sans fausseté, sans mensonge. Une droite honnête de citoyens qui espèrent en
une Nation fière et libre. Ils sont nombreux ceux qui ont voté pour elle et ne
sont ni des fascistes, ni des extrémistes. Simplement des personnes qui aiment
leur pays ! C’est bien pour cela que nos journaleux tremblent. Ils savent
qu’un nouveau pouvoir serait leur perte ! Robert Menard, dans un
livre : « La censure des bien-pensants » chez Albin Michel, dénonce
cette force obscure et gauchisante, à contre sens de l’esprit pluraliste dont
la France et nous, le peuple, avons besoin.
C’est pour cette raison que 99 % des médias
méritent un « poing » dans la gueule !
« Banal + » s’est senti gêné,
lorsque Dupont Aignan a demandé aux journalistes, imbus de leurs rôles, combien
ils gagnaient. Pas un n’a répondu. Tous pris en flagrant délit d’être de faux
dévots dans leur « tablier » fourbe de défenseur du pauvre, pourvu
que leurs indemnités et revenus ne soient pas affichés. Des pleutres jouant sur
l’innocence du peuple pour apparaître en « faux-bons »
samaritains ! Ils sont ces médias, les privilégiés d’une droite paralysée
par les titres d’articles malsains qui les complexent. Mais ce temps est
obsolète, et ils devinent la fin de leur règne.
C’est pour cette première raison - pour que
la gauche de Hollande et Mélenchon, dont on a vu les drapeaux algériens flotter
dans les meetings, preuve que ce « Front de gauche » est la courroie de transmission du FLN en France, avec un
Hollande qui pactise avec le pouvoir algérien - que je voterai Nicolas Sarkozy.
Entendons-nous bien. Je voterai Nicolas
Sarkozy à contrecœur, car il n’a pas tenu ses promesses. Pendant cinq ans il a
fait preuve d’égoïsme, d’orgueil et de prétention. Un égoïsme, un orgueil et
une prétention mal perçus. Le tout assorti de mesures démagogiques, incomprises
par les vrais patriotes. La crise nous a montré les limites d’une
« économie » à l’américaine qu’il espérait nous faire suivre... Ou serions-nous
si le même système laxiste financier US nous avait été appliqué ? Enfin,
pourquoi offrir à des gens de gauche des postes de responsabilité ? Ils
viennent, ces gens, de démonter leur capacité à trahir, une fois de plus !
Mais, ce qui me tient à cœur, me fait douter, malgré tout de sa récente
sincérité, c’est son indifférence marquée, comme du mépris, à notre égard. Il a
occulté de ses cinq ans des décisions courageuses, en laissant divers
ambassadeurs de France en Algérie s’aplatir piteusement face à un Bouteflika
triomphant en nous montrant du doigt, en coupable. Il a omis de rendre son
honneur aux Pieds-Noirs : Européens, Harkis et Supplétifs. Il vient de se
repentir de cette erreur... Un peu tard ! Est-il sincère ? J’en
doute, mais pour le moment Nicolas Sarkozy représente une France où je me
reconnais... encore partiellement à travers certains élus de la droite
populaire, même si la référence à De Gaule est de trop !
La seconde raison qui me fait voter
NS ? Eviter que la France ne disparaisse dans la mondialisation anonyme
d’un Hollande, fléau d’un relativisme que lui soufflent des chapelles opaques
qui ont déjà, il y a cinquante ans, perdu l’Algérie ; grand maître du
« genre » ; prédicateur d’une homosexualité qui dépasse les
bornes de la procréation naturelle et enfin, harangueur de foire, promettant le
vote aux étrangers.
Pour
ces différentes raisons, je voudrais, j’espère, que Marine le Pen ne reste pas
en dehors de la bataille de la démocratie ; qu’elle exprime clairement que
son choix n’est pas celui de Hollande en exigeant en contrepartie, qu’aux
législatives prochaines, le jeu des élections ne soit pas faussé par des accords
frauduleux UMP / PS.
Je l’écris. Je suis Pied-noir et je n’ai pas le droit de rester indifférent au sort de la France, même si depuis tant de décennies, je me sens dupe d’une Métropole oublieuse de son honneur. Robert Charles Puig / avril 2012 |