« Pied-noir
phobie » socialiste.
Elle
existe. Elle cherche par tous les moyens, et ils sont nombreux parce que le
pouvoir appartient à son parti, à faire de nous une abstraction, une
non-réalité... Cette « pied-noir-phobie » s’est manifestée chez les
socialistes depuis tellement longtemps. Elle a pris un essor nouveau lorsque
François Hollande a fait ses premiers voyages en Algérie à la recherche de voix
de français musulmans pour ses élections.... Bien entendu je n’oublie pas les
différents ambassadeurs de Nicolas Sarkozy, mais avec les socialistes nous atteignons
des sommets. Après son élection de mai 2012, ce mépris, cette haine
socialisante s’est accentuée dans ses discours sur le sol algérien et son hymne
au courage du FLN durant les années de terrorisme anti-Pieds-noirs. Pas un mot
n’a été prononcé pour exprimer un instant de compassion à tous nos morts et
l’Exode, dans la peur. Il a fait mieux encore dans sa « pied-noir-phobie »
par ses décisions absurdes sur la responsabilité de la République dans la
manifestation interdite du 17 octobre 1961 puis avec la reconnaissance du 19
mars 1962 comme date de cérémonie de la « fin de guerre » en Algérie.
Des mesures qui prouvent combien le président de la France actuelle porte un
incommensurable mépris, à la mémoire pied-noir et les 132 ans passés sur une
terre sans nom, sortie du moyen-âge pour en faire un pays moderne à la force
des travaux effectués par les pionniers du début du XIX e siècle.
C’est
un fait. Depuis 1962 et parce que le gaullisme et le socialisme entretiennent à
travers leurs valets les mensonges les plus éhontés et les plus minables, nous
subissons la hargne d’une politique qui n’a qu’un but : éliminer de
l’Histoire notre épopée, celle d’une plus grande France présente sur toutes les
terres du globe ! Mais les temps de gloire ont changé ! Nous ne
sommes plus aux yeux des socialistes que des outlaws qu’il faut chasser sans
pitié. Faire disparaître de la mémoire d’un peuple. C’est un programme où de
nombreux médias aux ordres de ce pouvoir de la gauche malsaine sont partie prenante. Ils y trouvent la pitance nécessaire à leur
survie de journalistes ou de chroniqueurs. Ils ne sont pas les derniers à nous
prendre pour cible, puis satisfaits de leurs faux témoignages, ils courent
toucher les deniers de leurs vomissures, de leur traîtrise, au pied des marches
du palais de l’Elysée.
Ce
n’est pas nouveau ce temps du mensonge, de la fausse certitude, de la fausse
preuve pour nous rendre coupable devant l’opinion publique et nous interdire
d’évoquer notre peur, nos drames, nos assassinés et nos disparus ! Souvenons-nous
à cet effet combien la France – ses hommes politiques bien entendu – se sont
montrés veules et ingrats en refusant d’intégrer les disparus d’Algérie des
années 1960, dont environ 600 jeunes militaires métropolitains, dans la
convention internationale qui traitait de ce sujet : les disparus dans le
monde pour faits de guerres ou de révolutions.
Cependant,
permettez-moi de revenir sur cette « pied-noir-phobie » socialiste
d’aujourd’hui, année 2013. Il est de notoriété publique qu’il est dangereux
d’être démocrate, républicain et partisan d’un pays de l’ordre, de la sécurité
et du respect de la famille. C’est la prison qui
guette les défenseurs des valeurs de nos ancêtres.
Avec
quel argent, ces primes ? Le nôtre. Une augmentation nouvelle des
impôts ! Les prélèvements obligatoires, ceux qui pèsent sur notre pouvoir
d’achat et qui vont bientôt atteindre 50 % des ressources des ménages ou des
entreprises, tandis que le déficit budgétaire sera bientôt à la hauteur du PIB ! Du jamais vu ! Pendant ce temps, la
bribe est lâchée aux ministres qui s’en donnent à cœur joie dans la critique du
gouvernement dont ils sont des représentants. C’est le panier de crabes ! De
plus, et sans que des sanctions soient annoncées, dans l’entourage socialiste
il y a trop de concubins et de concubines. Cela tweete à tort ; refuse un
siège au défilé du 14 juillet ou passe son temps à boire un café avec un
ministre préposé au budget... Il y a un plus... le ministre de l’intérieur. Une
belle figure d’un Etat socialiste où la police devient une arme anti
démocratique contre ceux qui ne sont pas dans la mouvance socialiste, qui ruent
dans les brancards du non-droit et s’élèvent contre les rigueurs d’une tendance
dictatoriale qui emprisonnent sélectivement ses opposants, à la manière de
1789. Observons les effets de manches d’un Manuel Valls ! L’accident ferroviaire
de Brétigny en est le meilleur dernier exemple. Est-ce un accident, un sabotage
programmé ? Il y a eu des morts, des blessés dont on sait que certains ont
été dépouillés de leurs biens... Mais silence ! Silence sur l’objet du
déraillement, silence sur les vols. Par contre, il faut détourner l’attention
du peuple... éviter qu’il se rende compte que le ministre n’est pas à la
hauteur de sa charge, alors ? Alors avec les médias qui s’empressent de
donner le « la », vite on découvre un quidam d’extrême droite, le mot
à la mode dans le langage socialiste, et on l’arrête lui et sa femme pour
quatre vingt seize heures !
Qu’a-t-il
fait ce quidam ? Il écrit et mails avec l’innocence de croire à la liberté
de pensée et de dire. Il oublie qu’il se trouve dans le pays des lois Gayssot et Taubira. Les lois qui interdisent ! Il est
virulent dans ses mots, mais va t-il plus loin ? Passe t-il à un acte
terroriste quelconque ? Et son épouse ? Elle achète des armes dans le
cadre légal prévu pour ce type d’opération. Est-elle aussi une
terroriste ?
Trois
jours après la détention le mari et la femme sont libérés de leur
emprisonnement mais le voile de la suspicion a changé de camp... Brétigny passe
au second plan. Le venin et le soufre du doute sont dans les esprits et surtout
celui du questionnement d’une innocente population, sur l’accident ferroviaire...
Bravo Monsieur le ministre de l’intérieur ! Bravo ces messieurs-dames du
journalisme ! Vous avez une fois de plus mérité vos émoluments exonérés de
taxes et d’impôts...
Ainsi, une fois de plus la propagande obscurantiste des socialistes a fonctionné. La Métropole est entre de bonnes mains (?) Est-ce une consolation ? La « pied-noir-phobie » ne touche pas que les Français d’Algérie, ceux de France sont aussi dans la ligne de mire du relativisme socialiste, de lois sociétales imposées et d’un djihad aux portes des banlieues, pour un futur sans horizon. Trappes (18/07/2013) est le triste exemple du mal communautariste qui frappe la France. Robert
Charles PUIG / juillet 2013
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