PRIX LITTERAIRE ALGERIANISTE

« JEAN POMIER » 2007


Le Prix Algérianiste « Jean Pomier
 » à

Paul BIREBENT

pour

« HOMMES, VIGNES ET VINS DE L'ALGÉRIE FRANÇAISE 1830-1962 »

Ce livre est le reflet de 132 ans de travail, d'esprit d'entreprise et de modernité qui firent le pays que nous avons laissé en 1962.

C'est non seulement une étude complète de l'histoire de la vigne en Algérie par un spécialiste mondialement connu aujourd'hui, mais l'histoire de ces hommes partis sur des terres où tout était à construire.

C'est l'évocation juste d'une période créatrice de travail et de mise en valeur de la terre qui laissa en 1962, un pays en pleine productivité


 

Le Prix spécial du jury algérianiste

à

Roger ROSSO

pour

« PIK, UN SIECLE»

avec la participation de Catherine MARTHOT

Ce livre exceptionnel nous fait profiter des souvenirs, clairs et précis d'un homme de 102 ans qui raconte en textes et en images, un siècle de sa ville de Bône. Roger Rosso était architecte mais aussi humoriste connu sous le nom de Pik, l'un des « dix d'Alger ». Les dessins, aquarelles et tableaux qui accompagnent les textes écrits par Catherine Marthot, sont d'une grande qualité et rendent encore plus vivante cette évocation pleine de vie, d'humour et de bonne santé.

 

 

La Distinction Livre Algérianiste : Témoignage
à
Simone GAUTIER
pour
« Le plateau des GLIERES »

La journée du 26 mars s'inscrit en lettres de sang dans l'histoire des français d'Algérie. Dans ce livre poignant, Simone Gautier crie sa douleur et les souvenirs cruels remontent à la mémoire. Simone Gautier, se bat contre la chape de plomb d'un oubli volontaire qui recouvre depuis 45 ans, cette journée de crimes. Son drame, son combat sont aussi les nôtres.

 

La distinction Livre Algérianiste : Sociologie

à

René DOMERGUE

pour

« L'INTEGRATION DES PIEDS-NOIRS DANS LES VILLAGES DU MIDI »

René Domergue est sociologue, il a mené une enquête sérieuse et honnête sur les réactions d'une région languedocienne à l'arrivée des Pieds-Noirs en 1962. L'auteur a eu le mérite d'évoquer les frustrations de ces « rapatriés malgré eux », leurs revendications mémorielles et la culpabilisation qu'on fait peser sur eux et leurs descendants. Ces phénomènes de rejet à leur arrivée, peuvent être reconnus par tous les Pieds-Noirs qui s'installèrent dans bien d'autres régions de France.